
Le concept "Ubi Tay, Jàng Tay" (ouvrir et démarrer le même jour) tarde à se matérialiser. Il étale à chaque rentrée ses limites. Outre certains enseignants et élèves qui ont l'habitude de s'inscrire souvent aux abonnés absents en début d'année scolaire, il y a une pire métastase. Selon Source A, ce sont les abris provisoires dont le nombre, en début octobre 2019, est de 6639.
Si "Ubi Tay, Jàng Tay" n'est qu'utopie dans les zones reculées du pays, c'est parce que la confection des abris provisoires est subordonnée à la fin des récoltes. D'autant que, dans les villages, c'est avec les tiges de mil, communément appelées "gatax" en Wolof, que les parents d'élèves fabriquent les palissades ou les toits des abris provisoires.
Si "Ubi Tay, Jàng Tay" n'est qu'utopie dans les zones reculées du pays, c'est parce que la confection des abris provisoires est subordonnée à la fin des récoltes. D'autant que, dans les villages, c'est avec les tiges de mil, communément appelées "gatax" en Wolof, que les parents d'élèves fabriquent les palissades ou les toits des abris provisoires.
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