
L’affaire fait grand bruit. Une enquête menée par l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a mis au jour un vaste réseau de fraude autour de la convention État-employeur mise en place durant la crise de la Covid-19. Parmi les personnes impliquées, l’artiste-comédien Moussa Seck, qui a été arrêté et inculpé pour « escroquerie portant sur des deniers publics, faux et usage de faux. »
Selon les révélations de Libération, l’Ofnac a révélé « un système frauduleux dans lequel plusieurs personnes ont bénéficié indûment des aides financières destinées aux entreprises en difficulté. » A en croire le journal, le mécanisme était simple : « falsifier des dossiers en y intégrant des employés fictifs afin de percevoir des subventions de l’État. »
Moussa Seck aurait ainsi obtenu frauduleusement 8,8 millions de francs CFA, en présentant un dossier comportant de faux employés. Mais il n’est pas le seul dans cette affaire : deux autres personnes ont déjà été inculpées pour « concussion et l’instruction pourrait révéler d’autres cas similaires. »
Après l’émission d’un mandat d’amener, la Division des investigations criminelles (Dic) a interpellé Moussa Seck avant de le transférer aux nouveaux locaux du Pool judiciaire financier (Pjf) à Sacré-Cœur. Le même jour, il a été placé sous mandat de dépôt par le juge du cinquième cabinet financier.
L’enquête se poursuit.
Selon les révélations de Libération, l’Ofnac a révélé « un système frauduleux dans lequel plusieurs personnes ont bénéficié indûment des aides financières destinées aux entreprises en difficulté. » A en croire le journal, le mécanisme était simple : « falsifier des dossiers en y intégrant des employés fictifs afin de percevoir des subventions de l’État. »
Moussa Seck aurait ainsi obtenu frauduleusement 8,8 millions de francs CFA, en présentant un dossier comportant de faux employés. Mais il n’est pas le seul dans cette affaire : deux autres personnes ont déjà été inculpées pour « concussion et l’instruction pourrait révéler d’autres cas similaires. »
Après l’émission d’un mandat d’amener, la Division des investigations criminelles (Dic) a interpellé Moussa Seck avant de le transférer aux nouveaux locaux du Pool judiciaire financier (Pjf) à Sacré-Cœur. Le même jour, il a été placé sous mandat de dépôt par le juge du cinquième cabinet financier.
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