Ali Larayedh, le ministre tunisien de l'Intérieur, lors de sa conférence de presse le 13 février 2012. AFP / FETHI BELAID
Une trentaine d'armes automatiques, plus de 60 000 dollars. Les douze hommes arrêtés possédaient une importante force de frappe. Hichem Medeb, le porte-parole du ministère de l'Intérieur, demande une plus forte coopération pour contrer la mouvance islamiste.
« Vous savez, al-Qaïda ou autre titre, ça reste du terrorisme, ça reste du terrorisme pur et dur. Ces éléments étaient en train de stocker des armes, et on ne sait pas exactement la finalité de ces armes. Ou vont-elles partir ? Peut-être en Europe, on ne sait pas, peut-être en Algérie. Il est important qu’on soit vigilent. Non seulement vigilent, mais communiquer entre les Etats, pour mieux contenir ce fléau ».
Baisse de la sécurité, notamment au niveau des frontières, trafic d'armes en hausse, la montée de ce type de groupe radicaux est aussi la conséquence de l'ouverture politique en Tunisie d'après le chercheur Mathieu Guibert*. « Avec la montée en puissance des groupes islamistes de tout poil, et notamment la victoire du parti islamiste Ennahda, il y a un climat favorable à la prolifération de ce type de groupe et d’idéologie sur un champ politique désormais dominé par l’idéologie islamiste ».
Selon les autorités tunisiennes, neuf membres de ce groupe lié à al-Qaïda sont toujours en fuite, en Algérie et en Libye.
Source: RFI
« Vous savez, al-Qaïda ou autre titre, ça reste du terrorisme, ça reste du terrorisme pur et dur. Ces éléments étaient en train de stocker des armes, et on ne sait pas exactement la finalité de ces armes. Ou vont-elles partir ? Peut-être en Europe, on ne sait pas, peut-être en Algérie. Il est important qu’on soit vigilent. Non seulement vigilent, mais communiquer entre les Etats, pour mieux contenir ce fléau ».
Baisse de la sécurité, notamment au niveau des frontières, trafic d'armes en hausse, la montée de ce type de groupe radicaux est aussi la conséquence de l'ouverture politique en Tunisie d'après le chercheur Mathieu Guibert*. « Avec la montée en puissance des groupes islamistes de tout poil, et notamment la victoire du parti islamiste Ennahda, il y a un climat favorable à la prolifération de ce type de groupe et d’idéologie sur un champ politique désormais dominé par l’idéologie islamiste ».
Selon les autorités tunisiennes, neuf membres de ce groupe lié à al-Qaïda sont toujours en fuite, en Algérie et en Libye.
Source: RFI
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