Elles sont les premières à se rendre aux urnes, comme il est de tradition au Togo. Les forces de l’ordre et de sécurité vont voter 72h avant le reste de la population.
Tchambakou Ayassor, le président de la Céni, qui tenait mardi une conférence de presse, a assuré que la Commission électorale avait pris toutes les dispositions pour que le scrutin dans son ensemble se passe dans les meilleures conditions. Le matériel sensible, comme les bulletins de vote ou l’encre indélébile, sera acheminé au dernier moment dans les 9 300 bureaux de vote du pays.
Le président de la Céni s’est également félicité du climat apaisé dans lequel se déroule cette campagne en dépit a-t-il précisé de quelques perturbations de meetings pour certains candidats.
Sept prétendants
À trois jours du vote, les sept prétendants tentent eux de mobiliser leur base et de convaincre les indécis dans un entretien accordé mardi 18 février à l’AFP, Faure Gnassingbé a assuré que la pression djihadiste était « très forte » dans l’extrême-nord du pays. « Notre principale richesse, c’est la stabilité et la sécurité », a déclaré le président candidat.
De son côté, Jean-Pierre Fabre a lui une nouvelle fois prôné le changement. « L’alternance est une nécessité absolue », a lancé le leader de l’ANC lors d’une conférence de presse organisée dans la capitale togolaise. Gabriel Agbéyomé Kodjo, ancien Premier ministre sous Eyadéma Gnassingbé a quant à lui parcouru le nord du pays et a parlé mardi tard dans la soirée aux populations d’Atakpame dans la région des plateaux. Il est convaincu d’être élu le 22 février.
Tchambakou Ayassor, le président de la Céni, qui tenait mardi une conférence de presse, a assuré que la Commission électorale avait pris toutes les dispositions pour que le scrutin dans son ensemble se passe dans les meilleures conditions. Le matériel sensible, comme les bulletins de vote ou l’encre indélébile, sera acheminé au dernier moment dans les 9 300 bureaux de vote du pays.
Le président de la Céni s’est également félicité du climat apaisé dans lequel se déroule cette campagne en dépit a-t-il précisé de quelques perturbations de meetings pour certains candidats.
Sept prétendants
À trois jours du vote, les sept prétendants tentent eux de mobiliser leur base et de convaincre les indécis dans un entretien accordé mardi 18 février à l’AFP, Faure Gnassingbé a assuré que la pression djihadiste était « très forte » dans l’extrême-nord du pays. « Notre principale richesse, c’est la stabilité et la sécurité », a déclaré le président candidat.
De son côté, Jean-Pierre Fabre a lui une nouvelle fois prôné le changement. « L’alternance est une nécessité absolue », a lancé le leader de l’ANC lors d’une conférence de presse organisée dans la capitale togolaise. Gabriel Agbéyomé Kodjo, ancien Premier ministre sous Eyadéma Gnassingbé a quant à lui parcouru le nord du pays et a parlé mardi tard dans la soirée aux populations d’Atakpame dans la région des plateaux. Il est convaincu d’être élu le 22 février.
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