Ce samedi 25 octobre 2025, se tient le premier tour de l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire. Cinq candidats sont en lice, dont le président sortant,Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat. À la veille du scrutin, la vigilance était de mise pour les autorités, qui entendent garantir la sécurité du vote de ce samedi.
Selon le procureur de la République ivoirien, Oumar Braman Koné, des individus ont tenté, dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 octobre 2025, d’incendier l’installation d’une société de gaz, près de Jacqueville, au sud de la Côte d'Ivoire. On ignore si des personnes ont été interpellées, mais pour le procureur, ce geste relève d’un « acte de terrorisme».
Dans un communiqué, Oumar Braman Koné établit un lien avec un contexte marqué par des « destructions de biens privés et publics » ou encore « des vols à main armée »… Des faits qui surviennent, après l’interdiction des mouvements de mobilisation de l’opposition, indique ce communiqué.
Pour cette élection présidentielle, près de 44 000 éléments des forces de défense et de sécurité ont été déployés pour sécuriser les lieux de vote. « Les dispositions sécuritaires ont été prises pour garantir à chacun la sérénité dans l’exercice de son droit », a notamment assuré Ibrahime Coulibaly-Kuibiert, le président de la Commission électorale indépendante (CEI). Le responsable encourage les électeurs à se déplacer « massivement » pour voter demain. « L'élection est un rendez-vous populaire et citoyen », a-t-il ajouté. Ibrahime Coulibaly-Kuibiert a également indiqué qu’il serait encore possible de retirer les nouvelles cartes d’électeurs dans les lieux de vote ce samedi.
À Yamoussoukro, où des manifestants ont brûlé les bureaux de la Commission électorale indépendante en début de semaine, un couvre-feu a été instauré.
Selon le procureur de la République ivoirien, Oumar Braman Koné, des individus ont tenté, dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 octobre 2025, d’incendier l’installation d’une société de gaz, près de Jacqueville, au sud de la Côte d'Ivoire. On ignore si des personnes ont été interpellées, mais pour le procureur, ce geste relève d’un « acte de terrorisme».
44 000 éléments des forces de défense et de sécurité déployés
Dans un communiqué, Oumar Braman Koné établit un lien avec un contexte marqué par des « destructions de biens privés et publics » ou encore « des vols à main armée »… Des faits qui surviennent, après l’interdiction des mouvements de mobilisation de l’opposition, indique ce communiqué.
Pour cette élection présidentielle, près de 44 000 éléments des forces de défense et de sécurité ont été déployés pour sécuriser les lieux de vote. « Les dispositions sécuritaires ont été prises pour garantir à chacun la sérénité dans l’exercice de son droit », a notamment assuré Ibrahime Coulibaly-Kuibiert, le président de la Commission électorale indépendante (CEI). Le responsable encourage les électeurs à se déplacer « massivement » pour voter demain. « L'élection est un rendez-vous populaire et citoyen », a-t-il ajouté. Ibrahime Coulibaly-Kuibiert a également indiqué qu’il serait encore possible de retirer les nouvelles cartes d’électeurs dans les lieux de vote ce samedi.
À Yamoussoukro, où des manifestants ont brûlé les bureaux de la Commission électorale indépendante en début de semaine, un couvre-feu a été instauré.
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