Revenant sur le déroulement du procès, l'avocat du barreau de Paris a mis l'accent sur ce qu'il appelle des scandales. "C'est le scandale des chiffres, en réclamants une amende de 2 000 milliards à l'ensemble des prévenus dans le cadre de ce procès. C'est du vent. Le vent de l'outrage, de la calomnie, et de la dénonciation", défend Me Sûr.
L'avocat de Karim Wade poursuit dans cette logique de dénonciation des "scandales" en citant l'exemple d'un "prévenu menotté dans le box des accusés, d'un magistrat qui démissionne en pleine audience, d'un procureur démis de ses fonctions en pleine audience". Selon le conseil de Karim, la moitié des témoins ne sont pas entendus par ce qu'il faut terminer le procès rapidement.
Concluant son intervention, Me Olivier Sûr a fait part de ses sentiments durant la tenue de ce procès. "Ce qui m'a ému, c'est l'allure de Karim Wade debout, la tête haute devant ceux qui l'accusent et qui ont baissé les cils", témoigne l'avocat avant de jeter un pavé dans la mare: "depuis mon séjour au Sénégal, je n'ai pas vu qu'on construisait des routes, des tunnels, mais la seule chose que l'Etat donne, c'est un procès politique du fils de l'ancien chef de l'Etat et l'inauguration de d'infrastructures commandées par l'ancien régime".
L'avocat de Karim Wade poursuit dans cette logique de dénonciation des "scandales" en citant l'exemple d'un "prévenu menotté dans le box des accusés, d'un magistrat qui démissionne en pleine audience, d'un procureur démis de ses fonctions en pleine audience". Selon le conseil de Karim, la moitié des témoins ne sont pas entendus par ce qu'il faut terminer le procès rapidement.
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