«Une chose est certaine, c’est un procès politique, c’est très clair. Le caractère politique du procès est indéniable. Maintenant devant la Cour, la discussion et les arguments sont judiciaires. Vous connaissez nos avocats, je suis convaincu que nous avons apporté les réponses techniques qu’il fallait aux prétentions du Parquet ». Ces propos sont de Jean Paul Dias, revenant sur le procès de son fils, Barthélémy poursuivi dans l’affaire du meurtre de Ndiaga Diouf.
Le chef de file du BCG d’étayer ses propos, dans les colonnes de l'Observateur, en rappelant que depuis 2012, après la mise sous mandat de dépôt de Dias-fils, personne n’a plus reparlé de ce procès. Selon lui, à chaque veille d’élections ce procès refait surface. Et c’est ce qui s’est passé en 2014, à la veille des Locales où son fils avait affiché une position claire en se rangeant derrière Khalifa Sall.
Et, fait-il savoir, c’est le même procédé qui se répète en 2014 quand le maire de Mermoz/Sacré-Cœur a commencé à soutenir une candidature du Parti socialiste sous sa propre bannière aussi bien aux Législatives de 2017 qu’à la Présidentielles de 2019.
N’empêche, le leader du BCG se dit confiant d’autant plus qu’au tribunal : «ce ne sont pas des aspects politiques qui seront évoqués, mais des aspects techniques judiciaire et de droit pénal», avant de demander qu’on attende de voir la suite.
Le chef de file du BCG d’étayer ses propos, dans les colonnes de l'Observateur, en rappelant que depuis 2012, après la mise sous mandat de dépôt de Dias-fils, personne n’a plus reparlé de ce procès. Selon lui, à chaque veille d’élections ce procès refait surface. Et c’est ce qui s’est passé en 2014, à la veille des Locales où son fils avait affiché une position claire en se rangeant derrière Khalifa Sall.
Et, fait-il savoir, c’est le même procédé qui se répète en 2014 quand le maire de Mermoz/Sacré-Cœur a commencé à soutenir une candidature du Parti socialiste sous sa propre bannière aussi bien aux Législatives de 2017 qu’à la Présidentielles de 2019.
N’empêche, le leader du BCG se dit confiant d’autant plus qu’au tribunal : «ce ne sont pas des aspects politiques qui seront évoqués, mais des aspects techniques judiciaire et de droit pénal», avant de demander qu’on attende de voir la suite.
Autres articles
-
ASER : le Dg épinglé par la Cour des comptes
-
Travaux de la requalification de la place Faidherbe à Saint-Louis : la Cour des comptes déterre des dysfonctionnements
-
Transparence et redevabilité : les OTSE exigent des engagements concrets des entreprises extractives
-
Ziguinchor: "Ousmane Sonko a trahi la confiance de sa commune" (conseiller municipal)
-
Thiès-Nord: la démission de Birame Souléye Diop attendue ce lundi