
Ses producteurs bien organisés qui prennent l'initiative de former des coopératives, son grand potentiel dû au fait que la saison de production de mangues y est longue, de mai à octobre, et sa fin de saison tardive qui lui donne un avantage sur le marché international, car elle produit des mangues fraîches longtemps après la fin de production des autres pays, ne permettent toujours pas à la Casamance de s’imposer dans le marché.
Pour mettre fin à cette entrave économique, l’USAID et ses partenaires font recours à la lutte biologique qui d’après un communiqué qui nous est parvenu, est la meilleure solution pour obtenir le contrôle des mouches à fruits dans cette région sud du Sénégal, surtout lorsqu'elle est associée à un programme de gestion intégrée des ravageurs. A cet effet, renseigne le document, trois sites du nord de la Casamance et 3 autres dans le sud ont été identifiés comme sites potentiels pour la lutte biologique naturelle. Et ces insectes bénéfiques seront envoyés dans les 3 sites du sud d'abord, puis 3 à 5 autres envois seront faits pour être distribués dans le nord et le sud de la Casamance.
L'espoir étant que ces insectes bénéfiques s’implanteront et commenceront à contrôler l’invasion de ces mouches à fruits, ouvrant ainsi la voie à un programme de gestion intégrée de ces ravageurs, cela permettra aux producteurs de fruits de la Casamance de fournir des fruits de qualité sur le marché, d’où le démarrage de la machine économique de la région Sud, incontournable fournisseuse de fruits et particulièrement de mangues au Sénégal.
A cause de ce problème des mouches à fruits, souvent les fruits, en particulier les mangues, sont d’une qualité insuffisante pour être emballés, exportés ou traités en fruits secs, jus de fruits, ou gelées.
Pour mettre fin à cette entrave économique, l’USAID et ses partenaires font recours à la lutte biologique qui d’après un communiqué qui nous est parvenu, est la meilleure solution pour obtenir le contrôle des mouches à fruits dans cette région sud du Sénégal, surtout lorsqu'elle est associée à un programme de gestion intégrée des ravageurs. A cet effet, renseigne le document, trois sites du nord de la Casamance et 3 autres dans le sud ont été identifiés comme sites potentiels pour la lutte biologique naturelle. Et ces insectes bénéfiques seront envoyés dans les 3 sites du sud d'abord, puis 3 à 5 autres envois seront faits pour être distribués dans le nord et le sud de la Casamance.
L'espoir étant que ces insectes bénéfiques s’implanteront et commenceront à contrôler l’invasion de ces mouches à fruits, ouvrant ainsi la voie à un programme de gestion intégrée de ces ravageurs, cela permettra aux producteurs de fruits de la Casamance de fournir des fruits de qualité sur le marché, d’où le démarrage de la machine économique de la région Sud, incontournable fournisseuse de fruits et particulièrement de mangues au Sénégal.
A cause de ce problème des mouches à fruits, souvent les fruits, en particulier les mangues, sont d’une qualité insuffisante pour être emballés, exportés ou traités en fruits secs, jus de fruits, ou gelées.
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