«Je ne reprocherai à aucun camarade ou à ses partisans de vouloir, à la loyale, avec courage, à visage découvert, obtenir la confiance des militant du Parti, pour sa direction ou pour porter sa candidature à n’importe quelle élection. Mais il faut le combattre dans le parti. Toute démarche de ce type est donc correcte, pour moi, si elle est conduite au moment opportun», a-t-il déclaré.
Par contre, Serigne Mbaye Thiam déplore la façon de faire de certains de ses camarades, qui ont tendance à vouloir isoler Ousmane Tanor Dieng, afin de de le détrôner de la tête de la formation politique : «ceux qui pensent que la stratégie de l’encerclement du Parti, par des mouvements satellites et par une campagne de communication, peut le conduire à abdiquer et ainsi faire un choix qui lui sera imposé de l’extérieur ou de la péripétie, se trompent de démarche, à tout le moins, auprès des personnes qui refusent d’être des moutons de Panurge».
Quant à la légitimité de Ousmane Tanor Dieng, le ministre de l’Education national soutient qu’elle ne souffre d’aucune contestation : «Pour terminer, je ne crois pas non plus que l’on puisse parler de guerre entre Ousmane Tanor Dieng, personne morale du Parti, qui a derrière lui, la quasi-totalité des 138 coordinations, ainsi que les mouvements des jeunes, des femmes, des cadres, etc., et un autre responsable du Parti. En tant que Secrétaire général du Parti, il est plutôt dans une posture de rassembleur que de guerre».
Par contre, Serigne Mbaye Thiam déplore la façon de faire de certains de ses camarades, qui ont tendance à vouloir isoler Ousmane Tanor Dieng, afin de de le détrôner de la tête de la formation politique : «ceux qui pensent que la stratégie de l’encerclement du Parti, par des mouvements satellites et par une campagne de communication, peut le conduire à abdiquer et ainsi faire un choix qui lui sera imposé de l’extérieur ou de la péripétie, se trompent de démarche, à tout le moins, auprès des personnes qui refusent d’être des moutons de Panurge».
Quant à la légitimité de Ousmane Tanor Dieng, le ministre de l’Education national soutient qu’elle ne souffre d’aucune contestation : «Pour terminer, je ne crois pas non plus que l’on puisse parler de guerre entre Ousmane Tanor Dieng, personne morale du Parti, qui a derrière lui, la quasi-totalité des 138 coordinations, ainsi que les mouvements des jeunes, des femmes, des cadres, etc., et un autre responsable du Parti. En tant que Secrétaire général du Parti, il est plutôt dans une posture de rassembleur que de guerre».
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