Pour la deuxième fois, les activistes des mouvements citoyens et les militants de Lamuka se sont donnés rendez-vous aux abords du siège du Parlement. Ils veulent que la Céni soit dirigée uniquement par les membres de la société civile. Rebecca Kabugho est membre de la Lucha : « Nous allons continuer à manifester jusqu’au jour où ils répondront à nos revendications. Nous avons besoin d’une Céni dépolitisée. S’il n’y a pas dépolitisation de la Céni nous allons continuer jusqu’à la fin du processus. »
Gaz lacrymogènes
Le sit-in ne durera pas. Sans ménagement, les manifestants sont dispersés à coups de gaz lacrymogènes. Dans la salle des plénières, Christophe Mboso, président de l’Assemblée nationale, constate la division au sein des confessions religieuses, mais décide de passer à l’étape suivante. La candidature pour la présidence de la Céni déposée par les six confessions religieuses sera examinée malgré l’opposition des catholiques et des protestants. Il constate aussi que le FCC de Joseph Kabila, qui exige un plus large consensus autour du processus, n’a pas transmis la liste de ses candidats.
« Un droit »
« Ceux qui veulent participer aux élections, remarque Christophe Mboso, c’est un droit. Ceux qui ne veulent pas, c’est aussi un droit. Je voudrais rappeler qu’à une certaine époque l’UDPS avait refusé de participer aux élections et le pouvoir en place avait organisé ces élections. »
En colère, le FCC a considéré que le bureau de l’Assemblée nationale a opéré un passage en force. La famille politique de Joseph Kabila a ainsi boycotté la séance et annoncé qu’elle ne participera pas aux travaux de la commission paritaire.
Gaz lacrymogènes
Le sit-in ne durera pas. Sans ménagement, les manifestants sont dispersés à coups de gaz lacrymogènes. Dans la salle des plénières, Christophe Mboso, président de l’Assemblée nationale, constate la division au sein des confessions religieuses, mais décide de passer à l’étape suivante. La candidature pour la présidence de la Céni déposée par les six confessions religieuses sera examinée malgré l’opposition des catholiques et des protestants. Il constate aussi que le FCC de Joseph Kabila, qui exige un plus large consensus autour du processus, n’a pas transmis la liste de ses candidats.
« Un droit »
« Ceux qui veulent participer aux élections, remarque Christophe Mboso, c’est un droit. Ceux qui ne veulent pas, c’est aussi un droit. Je voudrais rappeler qu’à une certaine époque l’UDPS avait refusé de participer aux élections et le pouvoir en place avait organisé ces élections. »
En colère, le FCC a considéré que le bureau de l’Assemblée nationale a opéré un passage en force. La famille politique de Joseph Kabila a ainsi boycotté la séance et annoncé qu’elle ne participera pas aux travaux de la commission paritaire.
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