Dans le cadre d’une rencontre internationale, les élèves officiers des républiques du Mali, du Maroc, de la France et du Sénégal étudient le radicalisme religieux. Prévu pour six (6) jours, le séminaire entend permettre aux forces de défense et de sécurité, en particulier, la gendarmerie nationale de relever le défi du radicalisme religieux.
Présidant la cérémonie d’ouverture, le ministre des Forces Armées note que «les jeunes deviennent la principale cible des groupes extrémistes qui leur impose des lectures biaisées des livres saints mais également de prétendues perspectives de libération de la société et de l’homme».
«Il y a en effet, un véritable processus d’endoctrinement avec plusieurs étapes pour former les futurs extrémistes», déclare Augustin Tine.
Selon le ministre, «pour comprendre comment fonctionne ce processus de radicalisation est donc une impérieuse nécessité pour les forces de défense et de sécurité chargées de combattre le terrorisme et toute forme de radicalisation violente».
«Aujourd’hui, le terrorisme ne s’importe plus ni ne s’exporte mais il est fait maison. Chaque contrée ou région a ses enfants terroristes, telle est la stratégie convoquée par l’autre camp pour une meilleure propagation de la peur. Le recrutement et le retournement des nationaux offrent une voie plus directe de la propagation de la terreur à moindre coût», alerte le Général de division, haut commandant de la gendarmerie et Directeur de la Justice militaire, Meïssa Niang.
Présidant la cérémonie d’ouverture, le ministre des Forces Armées note que «les jeunes deviennent la principale cible des groupes extrémistes qui leur impose des lectures biaisées des livres saints mais également de prétendues perspectives de libération de la société et de l’homme».
«Il y a en effet, un véritable processus d’endoctrinement avec plusieurs étapes pour former les futurs extrémistes», déclare Augustin Tine.
Selon le ministre, «pour comprendre comment fonctionne ce processus de radicalisation est donc une impérieuse nécessité pour les forces de défense et de sécurité chargées de combattre le terrorisme et toute forme de radicalisation violente».
«Aujourd’hui, le terrorisme ne s’importe plus ni ne s’exporte mais il est fait maison. Chaque contrée ou région a ses enfants terroristes, telle est la stratégie convoquée par l’autre camp pour une meilleure propagation de la peur. Le recrutement et le retournement des nationaux offrent une voie plus directe de la propagation de la terreur à moindre coût», alerte le Général de division, haut commandant de la gendarmerie et Directeur de la Justice militaire, Meïssa Niang.
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