Le rapport annuel 2024 de la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor met en lumière une série d’indicateurs financiers et opérationnels qui témoignent de la résilience et de la capacité d’adaptation face à un contexte économique contraint.
Selon le document officiel, la structure a mobilisé un budget global de 16,2 milliards FCFA, dont 12,7 milliards FCFA de recettes effectives, soit un taux de réalisation de 78,4 %. Ces résultats, bien que légèrement en deçà des prévisions initiales, traduisent une gestion rigoureuse dans un environnement marqué par la volatilité des marchés et les pressions budgétaires.
Les dépenses exécutées se chiffrent à 11,9 milliards FCFA, représentant un taux d’absorption de 93,7 % des crédits alloués. Cette performance illustre une capacité d’exécution améliorée par rapport à 2023, où le taux ne dépassait pas 90 %. Le rapport précise que la part la plus importante, soit 7,5 milliards FCFA, a été consacrée aux projets stratégiques, tandis que 3,2 milliards FCFA ont été orientés vers le fonctionnement courant et 1,2 milliard FCFA vers le renforcement institutionnel.
Les recettes propres enregistrées en 2024 atteignent 5,4 milliards FCFA, soit une progression de 12 % par rapport à l’exercice précédent. Cette évolution est attribuée à une meilleure mobilisation fiscale et à une amélioration du suivi des redevances. À cela s’ajoutent des financements extérieurs estimés à 7,3 milliards FCFA, provenant de partenariats avec les bailleurs internationaux et d’institutions régionales.
Le rapport annuel relève également que 38 projets majeurs ont été exécutés au cours de l’année 2024, dont 22 dans le secteur des infrastructures, 10 dans le domaine social, et 6 liés à la transition numérique. L’investissement global dans ces programmes s’élève à 8,6 milliards FCFA, soit 72 % du portefeuille total.
Du côté des ressources humaines, l’institution comptait 426 agents en activité fin 2024, contre 410 l’année précédente, traduisant un renforcement modéré des effectifs. La masse salariale, évaluée à 2,1 milliards FCFA, représente 18 % des charges totales.
Par ailleurs, le rapport insiste sur la gouvernance et la transparence dans l’exécution budgétaire. « La reddition des comptes demeure un pilier central de notre action. Chaque dépense engagée est justifiée et alignée sur les priorités stratégiques », souligne le document.
Concernant les perspectives, le budget 2025 est projeté à 18,4 milliards FCFA, soit une hausse de 13,5 % par rapport à 2024. La priorité sera accordée aux investissements structurants, avec un objectif d’atteindre un taux d’exécution supérieur à 95 %.
Enfin, le rapport annuel 2024 rappelle que « tous ces chiffres sont issus du document validé et publié par l’institution, servant de référence officielle pour l’évaluation et le suivi des performances. »
Selon le document officiel, la structure a mobilisé un budget global de 16,2 milliards FCFA, dont 12,7 milliards FCFA de recettes effectives, soit un taux de réalisation de 78,4 %. Ces résultats, bien que légèrement en deçà des prévisions initiales, traduisent une gestion rigoureuse dans un environnement marqué par la volatilité des marchés et les pressions budgétaires.
Les dépenses exécutées se chiffrent à 11,9 milliards FCFA, représentant un taux d’absorption de 93,7 % des crédits alloués. Cette performance illustre une capacité d’exécution améliorée par rapport à 2023, où le taux ne dépassait pas 90 %. Le rapport précise que la part la plus importante, soit 7,5 milliards FCFA, a été consacrée aux projets stratégiques, tandis que 3,2 milliards FCFA ont été orientés vers le fonctionnement courant et 1,2 milliard FCFA vers le renforcement institutionnel.
Les recettes propres enregistrées en 2024 atteignent 5,4 milliards FCFA, soit une progression de 12 % par rapport à l’exercice précédent. Cette évolution est attribuée à une meilleure mobilisation fiscale et à une amélioration du suivi des redevances. À cela s’ajoutent des financements extérieurs estimés à 7,3 milliards FCFA, provenant de partenariats avec les bailleurs internationaux et d’institutions régionales.
Le rapport annuel relève également que 38 projets majeurs ont été exécutés au cours de l’année 2024, dont 22 dans le secteur des infrastructures, 10 dans le domaine social, et 6 liés à la transition numérique. L’investissement global dans ces programmes s’élève à 8,6 milliards FCFA, soit 72 % du portefeuille total.
Du côté des ressources humaines, l’institution comptait 426 agents en activité fin 2024, contre 410 l’année précédente, traduisant un renforcement modéré des effectifs. La masse salariale, évaluée à 2,1 milliards FCFA, représente 18 % des charges totales.
Par ailleurs, le rapport insiste sur la gouvernance et la transparence dans l’exécution budgétaire. « La reddition des comptes demeure un pilier central de notre action. Chaque dépense engagée est justifiée et alignée sur les priorités stratégiques », souligne le document.
Concernant les perspectives, le budget 2025 est projeté à 18,4 milliards FCFA, soit une hausse de 13,5 % par rapport à 2024. La priorité sera accordée aux investissements structurants, avec un objectif d’atteindre un taux d’exécution supérieur à 95 %.
Enfin, le rapport annuel 2024 rappelle que « tous ces chiffres sont issus du document validé et publié par l’institution, servant de référence officielle pour l’évaluation et le suivi des performances. »
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