Le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) n’a pas finalement eu gain de cause dans son recours introduit à la Cour suprême. Ayant attaqué le décret convoquant le corps électoral dans cette juridiction, Karim Wade et Cie ont vu leur requête déclarée irrecevable, ce vendredi à la Cour suprême. Pris au dépourvu, certains partisans du PDS crie au scandale.
Interrogé par I-radio, le président de l’ONG Action pour les droits humains et l’amitié (Adha), Mamadou Mbengue donne trois raisons qui « démontrent que leur requête ne pouvait pas prospérer ». Il explique : « Premièrement, on a dit que la Cour avait déjà réglé l’affaire en 2016 avec le référendum en ne donnant pas droit sur une demande d’Ousmane Sonko».
Deuxièmement, «il y a des défauts et de qualités à agir. Seuls les 19 candidats validés par le Conseil constitutionnel peuvent agir en ce sens mais pas d’autres qui ont été recalés », poursuit-il.
Avant de terminer : « La Cour ne pouvait pas passer outre la plénitude de juridiction du Conseil constitutionnel en matière d’élection. Il faut le rappeler, cette plénitude n’est réservée qu’au 7 sages ». Pour Mamadou Mbengue, le recours déposé était déjà peine perdue.
Cette décision de la Cour suprême garde donc intact le processus électoral déjà enclenché aboutissant à l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Déboutés, le PDS et ses alliés disent se soumettre à cette décision « irrévocable ».
Interrogé par I-radio, le président de l’ONG Action pour les droits humains et l’amitié (Adha), Mamadou Mbengue donne trois raisons qui « démontrent que leur requête ne pouvait pas prospérer ». Il explique : « Premièrement, on a dit que la Cour avait déjà réglé l’affaire en 2016 avec le référendum en ne donnant pas droit sur une demande d’Ousmane Sonko».
Deuxièmement, «il y a des défauts et de qualités à agir. Seuls les 19 candidats validés par le Conseil constitutionnel peuvent agir en ce sens mais pas d’autres qui ont été recalés », poursuit-il.
Avant de terminer : « La Cour ne pouvait pas passer outre la plénitude de juridiction du Conseil constitutionnel en matière d’élection. Il faut le rappeler, cette plénitude n’est réservée qu’au 7 sages ». Pour Mamadou Mbengue, le recours déposé était déjà peine perdue.
Cette décision de la Cour suprême garde donc intact le processus électoral déjà enclenché aboutissant à l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Déboutés, le PDS et ses alliés disent se soumettre à cette décision « irrévocable ».
Autres articles
-
Farba Ngom au PJF : arrivé en ambulance, le site barricadé sous haute sécurité
-
Pool judiciaire et financier : Farba Ngom entendu ce lundi sur le fond de son dossier
-
Bloqués en RDC, plus de 500 Burundais qui vivaient à Uvira ont pu rentrer chez eux
-
Nigeria: plus de 200 élèves restent détenus dans la brousse depuis leur enlèvement fin novembre
-
68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030





Farba Ngom au PJF : arrivé en ambulance, le site barricadé sous haute sécurité


