Après la célébration du Grand Magal de Touba, une grande partie des fidèles a entamé le chemin du retour. Cependant, les mêmes facteurs de risque qui ont causé de nombreux accidents à l'aller persistent. L'expert en sécurité routière, Moustapha Gueye, a alerté sur les dangers accrus de ce voyage de retour.
Selon Moustapha Gueye, les accidents de la route sont principalement liés au "facteur humain". Les fidèles, souvent habitués à des trajets courts, se retrouvent sur des distances plus longues, utilisant parfois des véhicules qui ne leur sont pas familiers pour de tels trajets. Cette situation, couplée à la monotonie de la route, augmente le risque de prises d'initiatives dangereuses.
Le risque est encore plus élevé au retour, car les conducteurs et les passagers sont souvent fatigués. « Il y a l’absence de sommeil, de repos, mais aussi il y a la surconsommation d’aliments. Tout ça, font que les gens sont dans un état second », a-t-il expliqué. La précipitation à vouloir rentrer pour le travail du lendemain est également un facteur aggravant.
Face à ces risques, Moustapha Gueye a salué les mesures mises en place par les forces de l'ordre. Il a notamment mentionné le dispositif des gendarmes sur l'autoroute, qui "cassent le rythme" en imposant des "serpentins" tous les 10 kilomètres pour forcer les conducteurs à réduire leur vitesse. L'expert a conclu en insistant sur le fait que la vigilance est de mise pour éviter que de nouveaux accidents ne viennent endeuiller cette période de forte affluence.
Selon Moustapha Gueye, les accidents de la route sont principalement liés au "facteur humain". Les fidèles, souvent habitués à des trajets courts, se retrouvent sur des distances plus longues, utilisant parfois des véhicules qui ne leur sont pas familiers pour de tels trajets. Cette situation, couplée à la monotonie de la route, augmente le risque de prises d'initiatives dangereuses.
Le risque est encore plus élevé au retour, car les conducteurs et les passagers sont souvent fatigués. « Il y a l’absence de sommeil, de repos, mais aussi il y a la surconsommation d’aliments. Tout ça, font que les gens sont dans un état second », a-t-il expliqué. La précipitation à vouloir rentrer pour le travail du lendemain est également un facteur aggravant.
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