«Quand Jammeh a reconnu sa défaite, j’étais surpris et j’avais même dit que c’était trop beau, pour être vrai», a déclaré Ousmane Tanor Dieng qui se prononçait sur la question gambienne avec nos confrères de l’As.
Selon lui, ce pays ne doit pas être laissé seul à son sort, surtout par le Sénégal. C’est dans ce sens qu’il demande l’implication de tous : «Nous avons le devoir de veiller à ce que la Gambie, qui a retrouvé la voie de la démocratie et de la paix, se stabilise. Tout le monde doit y travailler, les hommes politiques, mais aussi les guides religieux à travers leurs prières».
Revenant sur la première réaction de Yaya Jammeh, le secrétaire général du Parti socialiste (Ps) affirme qu’il a toujours considéré que «c’était trop beau pour être vrai», mais qu’après tout, le dirigeant gambien avait peut-être reçu «la lumière de Dieu pour prendre cette position… »
N’empêche, fait-il savoir, l’homme de Kanilaï avait émis des signaux annonciateurs sur ses intentions avec son silence pesant et son retrait dans son village natal. C’est ce qui avait poussé le dirigeant du Ps, après l’avoir félicité, à demander «qu’on soit vigilant».
Le président du HCCT s’est aussi félicité de la fermeté de nos autorités qui ont fait savoir à Jammeh qu’elles ne le laisseront pas faire : «Sur ce plan, le Sénégal a fait preuve d’une grande fermeté et les Sénégalais doivent l’accompagner, les chefs religieux doivent aussi prier pour cela. Je suis persuadé qu’avec la pression de la communauté internationale, notamment la Cedeao, l’Ua, les Nations Unies à travers le Conseil de Sécurité, le Président Jammeh entendra raison et reviendra sur sa première décision qui est la seule bonne décision, c’est-à-dire reconnaître le verdict des urnes et sortir par la grande porte».
Selon lui, ce pays ne doit pas être laissé seul à son sort, surtout par le Sénégal. C’est dans ce sens qu’il demande l’implication de tous : «Nous avons le devoir de veiller à ce que la Gambie, qui a retrouvé la voie de la démocratie et de la paix, se stabilise. Tout le monde doit y travailler, les hommes politiques, mais aussi les guides religieux à travers leurs prières».
Revenant sur la première réaction de Yaya Jammeh, le secrétaire général du Parti socialiste (Ps) affirme qu’il a toujours considéré que «c’était trop beau pour être vrai», mais qu’après tout, le dirigeant gambien avait peut-être reçu «la lumière de Dieu pour prendre cette position… »
N’empêche, fait-il savoir, l’homme de Kanilaï avait émis des signaux annonciateurs sur ses intentions avec son silence pesant et son retrait dans son village natal. C’est ce qui avait poussé le dirigeant du Ps, après l’avoir félicité, à demander «qu’on soit vigilant».
Le président du HCCT s’est aussi félicité de la fermeté de nos autorités qui ont fait savoir à Jammeh qu’elles ne le laisseront pas faire : «Sur ce plan, le Sénégal a fait preuve d’une grande fermeté et les Sénégalais doivent l’accompagner, les chefs religieux doivent aussi prier pour cela. Je suis persuadé qu’avec la pression de la communauté internationale, notamment la Cedeao, l’Ua, les Nations Unies à travers le Conseil de Sécurité, le Président Jammeh entendra raison et reviendra sur sa première décision qui est la seule bonne décision, c’est-à-dire reconnaître le verdict des urnes et sortir par la grande porte».
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