A l’endroit de l’opinion, la ministre de la Fonction publique, de la Rationalisation des effectifs et du Renouveau du service public, précise à l’endroit de l’opinion qu’ «Ousmane Sonko n’est pas le premier fonctionnaire à être traduit devant le Conseil de discipline». Poursuivant, Viviane Bampassy précise que «c’est une structure qui existe depuis 1962 et régulièrement nous avons des fonctionnaires qui sont traduits devant le Conseil… ».
Et d’indiquer : «Tout ce qui a été fait dans la procédure concernant M. Ousmane Sonko, l’a été dans le cadre de la loi et du règlement». «M. Sonko a déféré devant le Conseil de discipline après avoir été suspendu par l’autorité ayant pouvoir de suspension…Il a eu accès à son dossier disciplinaire qu’il a consulté dans nos services», soutient la ministre. Et d’ajouter dans une interview accordée à «l’Observateur» : «Convoqué régulièrement par voie d’huissier, (Ousmane Sonko) s’est présenté le 24 août devant le Conseil de discipline qui lui a précisé les règles selon lesquelles il devait être entendu. Et selon ces règles, l’intéressé devait se faire accompagner d’un défenseur».
Viviane Bampassy se veut clair: «Dès lors que le conseil l’a convoqué régulièrement, qu’il s’est présenté devant lui, que la règlementation en la matière lui a été signifiée et qu’il a décidé d’y renoncer, je crois qu’il faut aussi admettre que le conseil ne peut pas obliger quelqu’un à comparaître… ».
«Le conseil (ayant) statué en ayant pris connaissance du dossier, sur la base d’un dossier transmis par le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, la ministre souligne par ailleurs que «au niveau de la Fonction publique, lorsque nous avons reçu la décision, nous l’avons transmise au ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, pour notification à l’intéressé».
Concluant, Viviane Bampassy affirme que «ceux qui soutiennent Ousmane Sonko dans sa position, font de la démagogie».
Et d’indiquer : «Tout ce qui a été fait dans la procédure concernant M. Ousmane Sonko, l’a été dans le cadre de la loi et du règlement». «M. Sonko a déféré devant le Conseil de discipline après avoir été suspendu par l’autorité ayant pouvoir de suspension…Il a eu accès à son dossier disciplinaire qu’il a consulté dans nos services», soutient la ministre. Et d’ajouter dans une interview accordée à «l’Observateur» : «Convoqué régulièrement par voie d’huissier, (Ousmane Sonko) s’est présenté le 24 août devant le Conseil de discipline qui lui a précisé les règles selon lesquelles il devait être entendu. Et selon ces règles, l’intéressé devait se faire accompagner d’un défenseur».
Viviane Bampassy se veut clair: «Dès lors que le conseil l’a convoqué régulièrement, qu’il s’est présenté devant lui, que la règlementation en la matière lui a été signifiée et qu’il a décidé d’y renoncer, je crois qu’il faut aussi admettre que le conseil ne peut pas obliger quelqu’un à comparaître… ».
«Le conseil (ayant) statué en ayant pris connaissance du dossier, sur la base d’un dossier transmis par le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, la ministre souligne par ailleurs que «au niveau de la Fonction publique, lorsque nous avons reçu la décision, nous l’avons transmise au ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, pour notification à l’intéressé».
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