Depuis que l’Espagne est sortie de la position de neutralité qu’elle avait toujours prônée concernant le dossier sahraoui, l’Algérie n’a cessé de manifester son agacement. Après avoir menacé de réviser les tarifs de gaz vendu à l’Espagne, elle suspens cette fois un traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération conclu en 2002. Cet accord encadrait jusqu’ici le développement des relations entre les deux pays : il prévoyait un renforcement du dialogue politique, mais aussi le développement de la coopération dans les domaines économiques, financier, éducatif et de la défense.
La présidence a justifié cette décision de suspension en indiquant que la nouvelle position des autorités espagnoles était en « violation de leurs obligations juridique, morale et politique » et elle dénonce le soutien espagnol à une formule illégale et illégitime de l’autonomie interne.
L’Espagne de son côté regrette la décision algérienne. Elle dit qu'elle « considère l'Algérie comme un pays voisin et ami » et souhaite continuer à développer des relations de coopération avec Alger.
La présidence a justifié cette décision de suspension en indiquant que la nouvelle position des autorités espagnoles était en « violation de leurs obligations juridique, morale et politique » et elle dénonce le soutien espagnol à une formule illégale et illégitime de l’autonomie interne.
L’Espagne de son côté regrette la décision algérienne. Elle dit qu'elle « considère l'Algérie comme un pays voisin et ami » et souhaite continuer à développer des relations de coopération avec Alger.
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