Le secrétaire général du Syndicat autonome des enseignants du moyen et secondaire du Sénégal (Saems), n'a toujours pas digérer les révélations du rapport Human Rights Watch sur le harcèlement des filles dans les écoles. Saourou Sène a démenti avec la dernière énergie l’auteur cette étude qui a fait savoir dans l’émission «Rfm matin» de ce lundi 22 octobre 2018, qu'ils se sont rencontrés.
«Je suis très surpris d’entendre la dame Martinez qui affirait qu’elle m’a rencontré dans le cadre de ce travail qu’ils ont publié. Je m’inscris en faux », rétorque le secrétaire général du Saems, Saourou Sène.
Il poursuit sur la Rfm : «Non seulement cela, mais dès que j’ai entendu ses propos, je me suis référé à mon mail ligne et j’ai vu qu’elle m’a effectivement envoyé un message sur le mail ligne pour me dire qu’ils vont nous (syndicat autonome) envoyer le rapport qu’ils ont terminé de faire, c’était le 12 octobre et je me suis rendu compte aussi le 17 octobre, qu’ils nous ont invité à une conférence de presse. Un mail auquel je n’ai même pas répondu pour ne les avoir pas lus», renseigne-t-il.
Revenant sur le rapport, Saourou Sène dit camper sur sa décision. Il est d’avis qu’ «il faudra l’attaquer et porter plainte contre cette Ong». Dans son rapport publié jeudi 18 octobre 2018, l’Ong Human Rights Watch a révélé que plus de 160 filles ont été victimes d’harcèlement et d’abus sexuels par les enseignants dans les écoles secondaires du Sénégal.
«Je suis très surpris d’entendre la dame Martinez qui affirait qu’elle m’a rencontré dans le cadre de ce travail qu’ils ont publié. Je m’inscris en faux », rétorque le secrétaire général du Saems, Saourou Sène.
Il poursuit sur la Rfm : «Non seulement cela, mais dès que j’ai entendu ses propos, je me suis référé à mon mail ligne et j’ai vu qu’elle m’a effectivement envoyé un message sur le mail ligne pour me dire qu’ils vont nous (syndicat autonome) envoyer le rapport qu’ils ont terminé de faire, c’était le 12 octobre et je me suis rendu compte aussi le 17 octobre, qu’ils nous ont invité à une conférence de presse. Un mail auquel je n’ai même pas répondu pour ne les avoir pas lus», renseigne-t-il.
Revenant sur le rapport, Saourou Sène dit camper sur sa décision. Il est d’avis qu’ «il faudra l’attaquer et porter plainte contre cette Ong». Dans son rapport publié jeudi 18 octobre 2018, l’Ong Human Rights Watch a révélé que plus de 160 filles ont été victimes d’harcèlement et d’abus sexuels par les enseignants dans les écoles secondaires du Sénégal.
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