Le ministre de la Justice, Garde des sceaux Me Madické Niang
Trois tours d’horloge n’ont pas permis au ministère de la Justice et au Syndicat des travailleurs de la justice d’arrondir les angles. Les greffiers ont, en effet, maintenu leur mot d’ordre de grève après leurs négociations avec le ministère de la Justice. Pour sa part, le Garde des Sceaux s’est engagé à prendre toutes les dispositions possibles pour qu’il n’y ait pas de rupture dans le fonctionnement de la justice. «Ils ont décidé d’aller en grève nonobstant toute la manifestation de bonne volonté dont nous avons fait montre. Il me revient en tant que ministre de la justice d’assumer mes responsabilités. Je les assumerai avec beaucoup de rigueur. Je vais m’atteler à faire de sorte que les juridictions ne soient pas paralysées». Sans ambages Madické Niang a martelé : «nous allons appliquer la loi. Tout ceux qui iront en grève verront leur salaire réduit des jours de grève. Le salaire n’est que la contrepartie de la prestation de service. Nous demanderons au ministère des Finances de couper les salaires».
Madické Niang a précisé : «nous sommes arrivés à un constat d’échec partiel. Sur les six points qui figuraient sur la plateforme revendicative quatre ont fait l’objet d’un accord». Pour les deux points restants le ministre a fait savoir que «le désaccord n’est pas définitif parce que des ouvertures ont été faites. Pour l’indemnité de logement nous avons dit qu’une réponse appropriée pourrait intervenir dans un délai raisonnable. Sur le point relatif à l’augmentation de l’indemnité de participation à la judicature nous avons dit que les discussions que nous menions avec les autres démembrements de l’Etat concernés devront être continuer et pour cela il est possible que nous puissions arriver à un accord».
Ainsi, pour éviter une paralysie dans le fonctionnement de la justice, le ministre a décidé de faire intervenir d’autres personnes qui pourront suppléer. «Les gendarmes sont là, le personnel de l’administration pénitentiaire, les policiers et d’autres seront là pour pouvoir suppléer pour que les juridictions ne soient pas paralysées» a fait comprendre Me Niang
Le Sytjust va en grève générale ce mardi 3 et mercredi 4 mars et aussi les 17 et 18 mars. Le vendredi 27 mars il a prévu d’organiser une marche nationale à Dakar à partir de 9 h.
Madické Niang a précisé : «nous sommes arrivés à un constat d’échec partiel. Sur les six points qui figuraient sur la plateforme revendicative quatre ont fait l’objet d’un accord». Pour les deux points restants le ministre a fait savoir que «le désaccord n’est pas définitif parce que des ouvertures ont été faites. Pour l’indemnité de logement nous avons dit qu’une réponse appropriée pourrait intervenir dans un délai raisonnable. Sur le point relatif à l’augmentation de l’indemnité de participation à la judicature nous avons dit que les discussions que nous menions avec les autres démembrements de l’Etat concernés devront être continuer et pour cela il est possible que nous puissions arriver à un accord».
Ainsi, pour éviter une paralysie dans le fonctionnement de la justice, le ministre a décidé de faire intervenir d’autres personnes qui pourront suppléer. «Les gendarmes sont là, le personnel de l’administration pénitentiaire, les policiers et d’autres seront là pour pouvoir suppléer pour que les juridictions ne soient pas paralysées» a fait comprendre Me Niang
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