Les feux d'artifices qui illuminent le ciel à l'occasion des fins d'année Dakar ne sera pas en reste
Comme à l’accoutumée, les pétards sont en vogue en cette fin d’année. Tous ceux qui se prêtent à ce petit commerce se frottent, généralement, les mains. Vêtu de tee-shirt de couleur vert et d’un pantalon jeans, Assane Ndoye est un marchand ambulant qui fréquente l’avenue Georges Pompidou communément appelée Ponty (plein cœur du centre ville). Il tient à sa main droite un paquet de pétards bien rangés de toutes les couleurs. Il a l’air jovial et ne semble pas être confronté à la conjoncture économique. «La vente se passe bien. Les clients viennent acheter ces produits pour les enfants. Grâce à Dieu, nous récoltons des bénéfices», a expliqué Assane Ndoye de manière enthousiaste.
Le vendeur de décortiquer les différentes variétés de pétards. Selon lui, il y a les «boules de feu, des dynamites, des étincelants». Assane Ndoye de faire savoir que les prix varient entre 100f l’unité et 10 000f le paquet et selon le type d’explosif.
Vendeurs de pétards depuis plus de trois ans, le marchand ambulant a fini par connaître les préférences des enfants. «C’est le paquet de 6 bâtons de cent boules de feux qui coûte 10 000f soit 2000f l’unité. Pour ce qui est des boules de cinquante feux, elles se vendent à 1000f, l’unité», a-t-il avancé.
Non loin de là, précisément à l’avenue Emile Badiane, les pétards peuplent les trottoirs. Ces étals disputent la chaussée avec les véhicules. On a même l’impression qu’ils vont être renversés par les voitures ou même les passants. Bécaye Ndiaye est l’un des propriétaires de ces tables où jonchent les pétards à gogo. En même temps, il vend des paquets de mouchoirs, de coton tiges et des cure-dents.
Ce toucouleur bon teint résident à la Médina ne semble pas non plus souffrir de la crise. Il a soutenu : «les affaires vont bien même si je n’ai commencé la vente que depuis hier. Les gens achètent bien surtout les petits. Parfois, ce sont les parents qui viennent acheter pour leur faire plaisir».
Les prix sont apparemment les mêmes chez tous les vendeurs. Ils ne varient pas, selon Bécaye Ndiaye. En revanche, il a souligné que la vente en détail est plus alléchante que celle en gros.
Il n’a pas fini d’expliquer, deux jeunes filles âgées entre autres de près d’une vingtaine d’années se présentent devant lui. Alors, place au marchandage, à la négociation sur le prix. Elles veulent les boules de cent feux et proposent 5000 à 6000 francs CFA à Bécaye Ndiaye. Mais, cette proposition ne semble pas agréer le vendeur qui reste intransigeant sur les 10 000 francs CFA. Une somme que Khady et Mamy Sakho ne sont pas prêtes à débourser.
Tout compte fait, ces explosifs, prisés par les enfants ont fait plus d’un dégât. Rappelons qu’ils ont été les causes de plusieurs incendies à la place de l’indépendance du Sénégal et dans d’autres pays.
Le vendeur de décortiquer les différentes variétés de pétards. Selon lui, il y a les «boules de feu, des dynamites, des étincelants». Assane Ndoye de faire savoir que les prix varient entre 100f l’unité et 10 000f le paquet et selon le type d’explosif.
Vendeurs de pétards depuis plus de trois ans, le marchand ambulant a fini par connaître les préférences des enfants. «C’est le paquet de 6 bâtons de cent boules de feux qui coûte 10 000f soit 2000f l’unité. Pour ce qui est des boules de cinquante feux, elles se vendent à 1000f, l’unité», a-t-il avancé.
Non loin de là, précisément à l’avenue Emile Badiane, les pétards peuplent les trottoirs. Ces étals disputent la chaussée avec les véhicules. On a même l’impression qu’ils vont être renversés par les voitures ou même les passants. Bécaye Ndiaye est l’un des propriétaires de ces tables où jonchent les pétards à gogo. En même temps, il vend des paquets de mouchoirs, de coton tiges et des cure-dents.
Ce toucouleur bon teint résident à la Médina ne semble pas non plus souffrir de la crise. Il a soutenu : «les affaires vont bien même si je n’ai commencé la vente que depuis hier. Les gens achètent bien surtout les petits. Parfois, ce sont les parents qui viennent acheter pour leur faire plaisir».
Les prix sont apparemment les mêmes chez tous les vendeurs. Ils ne varient pas, selon Bécaye Ndiaye. En revanche, il a souligné que la vente en détail est plus alléchante que celle en gros.
Il n’a pas fini d’expliquer, deux jeunes filles âgées entre autres de près d’une vingtaine d’années se présentent devant lui. Alors, place au marchandage, à la négociation sur le prix. Elles veulent les boules de cent feux et proposent 5000 à 6000 francs CFA à Bécaye Ndiaye. Mais, cette proposition ne semble pas agréer le vendeur qui reste intransigeant sur les 10 000 francs CFA. Une somme que Khady et Mamy Sakho ne sont pas prêtes à débourser.
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