La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) a dénoncé avec la décision des États-Unis d’imposer des sanctions contre quatre magistrats de la Cour pénale internationale (CPI), dont la Sénégalaise Mame Mandjiaye Niang, procureur adjoint. Washington accuse ces magistrats d’avoir mené des enquêtes visant des ressortissants américains et israéliens, estimant que la CPI « politise la justice » et constitue une menace pour la souveraineté et la sécurité nationale des États-Unis.
Les sanctions comprennent le gel de leurs avoirs, l’interdiction d’entrer sur le territoire américain et le blocage de toute transaction financière avec les personnes ciblées.
Dans un communiqué publié le 22 août 2025 à Dakar, la RADDHO « condamne avec fermeté cette décision » qu’elle juge contraire à l’article 40 du Statut de Rome, soulignant qu’elle « porte atteinte à l’impartialité et à l’indépendance » des magistrats de la CPI.
L’organisation dit « se féliciter de la réaction du gouvernement sénégalais », qui a rejeté ces sanctions, de même que plusieurs pays signataires du Statut de Rome. Elle « dénonce cette tentative de soustraire des responsables américains et israéliens à la justice » et avertit que cette décision « nie gravement les droits des victimes ».
La RADDHO s’inquiète d’une « attaque contre l’État de droit et la justice pénale internationale » et affirme son « soutien indéfectible » à la CPI, saluant « le travail important qu’elle abat au profit de la justice ».
Elle appelle les organisations internationales et de défense des droits humains à « amplifier leurs voix pour condamner ces sanctions injustifiées » et à exprimer leur solidarité.
Enfin, la RADDHO demande aux États-Unis « de retirer les sanctions et de laisser la CPI faire son travail en toute indépendance, neutralité et objectivité ».
Les sanctions comprennent le gel de leurs avoirs, l’interdiction d’entrer sur le territoire américain et le blocage de toute transaction financière avec les personnes ciblées.
Dans un communiqué publié le 22 août 2025 à Dakar, la RADDHO « condamne avec fermeté cette décision » qu’elle juge contraire à l’article 40 du Statut de Rome, soulignant qu’elle « porte atteinte à l’impartialité et à l’indépendance » des magistrats de la CPI.
L’organisation dit « se féliciter de la réaction du gouvernement sénégalais », qui a rejeté ces sanctions, de même que plusieurs pays signataires du Statut de Rome. Elle « dénonce cette tentative de soustraire des responsables américains et israéliens à la justice » et avertit que cette décision « nie gravement les droits des victimes ».
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