Dans un communiqué rendu public, l’organisation souligne que ces événements, si avérés, constituent de « graves violations des droits humains et rappellent la nécessité d'assurer la sécurité de tous les migrants ».
ADHA condamne fermement ces exactions, contraires à l'Article 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (droit à la vie, à la liberté et à la sûreté); à la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille (notamment les articles 16 et 25 sur la protection contre la violence et l'égalité de traitement); à la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples (articles 4 et 12); et à l'Accord de coopération Sénégal-Mauritanie sur la libre circulation et le traitement équitable des ressortissants.
Face à cette situation, ADHA appelle les autorités mauritaniennes à ouvrir une enquête transparente pour identifier les auteurs, les autorités sénégalaises à renforcer leur présence diplomatique et consulaire pour protéger leurs citoyens et les instances régionales (CEDEAO, UA) à assurer un suivi rigoureux de la situation et à favoriser la prévention de toute escalade.
Enfin, Action pour les Droits Humains et l'Amitié (ADHA) invite les organisations de défense des droits humains en Mauritanie à « documenter rigoureusement les faits et à collaborer avec le Réseau africain des défenseurs des droits humains, dont nous sommes membres, afin de garantir la vérité, la justice et la non-répétition ».
ADHA condamne fermement ces exactions, contraires à l'Article 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (droit à la vie, à la liberté et à la sûreté); à la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille (notamment les articles 16 et 25 sur la protection contre la violence et l'égalité de traitement); à la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples (articles 4 et 12); et à l'Accord de coopération Sénégal-Mauritanie sur la libre circulation et le traitement équitable des ressortissants.
Face à cette situation, ADHA appelle les autorités mauritaniennes à ouvrir une enquête transparente pour identifier les auteurs, les autorités sénégalaises à renforcer leur présence diplomatique et consulaire pour protéger leurs citoyens et les instances régionales (CEDEAO, UA) à assurer un suivi rigoureux de la situation et à favoriser la prévention de toute escalade.
Enfin, Action pour les Droits Humains et l'Amitié (ADHA) invite les organisations de défense des droits humains en Mauritanie à « documenter rigoureusement les faits et à collaborer avec le Réseau africain des défenseurs des droits humains, dont nous sommes membres, afin de garantir la vérité, la justice et la non-répétition ».
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