Les professeurs contractuels n’ont pas perçu leurs salaires du mois de juin. Secrétaire général du SAEMS / CUSEMS, Saourou Sène tape du poing sur la table.
«A la date d’aujourd’hui, le 12 juillet 2017, jusqu’au moment où nous parlons, ces professeurs-là n’ont pas perçu leur salaire alors que tout le monde, les fonctionnaires avaient déjà perçu leur salaire par anticipation avant la Korité. C’est une situation non seulement inacceptable mais qu’absolument rien ne peut justifier. C’est la raison pour laquelle et pendant qu’il est encore temps, nous en appelons à la responsabilité de l’autorité. Nous avons cherché à vérifier au niveau de la Direction de l’administration générale de l’équipement. Nous avons également vérifié au niveau de la Solde, personne ne peut nous dire où se situe exactement le blocage. C’est des faits qui sont devenus récurrents dans le système et nous ne sommes pas appelés à les tolérer encore moins les accepter. C’est encore une fois de plus un appel, et si dans la semaine, nous constatons que la situation ne se débloque pas, nous pourrions être amenés à appeler tous nos camarades qui officient au niveau de l’examen du Bac pour qu’ils arrêtent parce que trop, c’est trop quand même», vocifère-t-il sur les ondes de la Rfm.
«A la date d’aujourd’hui, le 12 juillet 2017, jusqu’au moment où nous parlons, ces professeurs-là n’ont pas perçu leur salaire alors que tout le monde, les fonctionnaires avaient déjà perçu leur salaire par anticipation avant la Korité. C’est une situation non seulement inacceptable mais qu’absolument rien ne peut justifier. C’est la raison pour laquelle et pendant qu’il est encore temps, nous en appelons à la responsabilité de l’autorité. Nous avons cherché à vérifier au niveau de la Direction de l’administration générale de l’équipement. Nous avons également vérifié au niveau de la Solde, personne ne peut nous dire où se situe exactement le blocage. C’est des faits qui sont devenus récurrents dans le système et nous ne sommes pas appelés à les tolérer encore moins les accepter. C’est encore une fois de plus un appel, et si dans la semaine, nous constatons que la situation ne se débloque pas, nous pourrions être amenés à appeler tous nos camarades qui officient au niveau de l’examen du Bac pour qu’ils arrêtent parce que trop, c’est trop quand même», vocifère-t-il sur les ondes de la Rfm.
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