L’école Sénégalaise n’est pas encore sortie de l’ornière. Ce, malgré les négociations entamées entre les autorités et les syndicalistes. Le Grand Cadre qui a rencontré le chef de l’Etat avance que si les engagements ne sont pas respectés, il en tirera toutes les conséquences. «Il a pris des engagements relatifs à la validation, maintenant il reste à régler le reste de la validation. Il s’est aussi engagé à libérer nos terrains, nos actes, les baux, les affectations, en fin décembre. Les actes de reclassement ont été également pris. Si c’est réglé, je pense qu'on est parti pour stabiliser l’espace scolaire. Si cela n’est pas fait, on va prendre en témoin le peuple», préconisent les enseignants.
«Les écoles Sénégalaises manquent de matériels didactiques, des enseignants mal formé, un environnement malsain. Pas de coordination entre les collectivités locales et l’Etat. L’école qui manque de tout, de matériels didactiques, dont les budgets sont coupés pour preuve, le CEM de Médina qui avait un budget de 1 million 900 mille l’année dernière, ils ont un budget de 500 mille F CFA, cette année », égrène Abdou Faty sur les ondes de Walf. Le secrétaire général du Grand Cadre a aussi tiré à boulets rouges sur les médiateurs de la crise scolaire qui selon lui, voulaient tout simplement se faire un nom. Selon ce dernier, il a fallu qu'ils menacent à travers le slogan: « oubi tey, grève tey », pour qu’ils soient invités au ministère de la Fonction publique et à la Présidence».
«Les écoles Sénégalaises manquent de matériels didactiques, des enseignants mal formé, un environnement malsain. Pas de coordination entre les collectivités locales et l’Etat. L’école qui manque de tout, de matériels didactiques, dont les budgets sont coupés pour preuve, le CEM de Médina qui avait un budget de 1 million 900 mille l’année dernière, ils ont un budget de 500 mille F CFA, cette année », égrène Abdou Faty sur les ondes de Walf. Le secrétaire général du Grand Cadre a aussi tiré à boulets rouges sur les médiateurs de la crise scolaire qui selon lui, voulaient tout simplement se faire un nom. Selon ce dernier, il a fallu qu'ils menacent à travers le slogan: « oubi tey, grève tey », pour qu’ils soient invités au ministère de la Fonction publique et à la Présidence».
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