Les agents de l’hôpital ont rué sur les brancards pour dénoncer la situation alarmante dans laquelle ils sont plongés depuis un bon bout de temps. Ils dénoncent les agissements de leur Conseil d’administration.
«Non seulement la ville de Dakar doit nous verser la subvention de 200 millions de francs Cfa chaque année, mais elle ne la verse pas. Actuellement, elle nous doit un reliquat de 808 348 millions F Cfa », a déclaré leur secrétaire général.
Selon Makhfouz Aidara, «au moment où elle a arrêté les primes de motivation des travailleurs de Abass Ndao, à savoir les 25% des recettes, et pour les mettre à zéro (0), ils ont osé, eux, doubler leurs indemnités de présence. Au-delà de ça ils ont octroyé au chef du Service administratif et financier (Saf) une prime d’un million de F Cfa qui n’existent dans aucun hôpital de niveau 3».
S’agissant de la situation de l’hôpital, les agents ont informé que la structure leur doit «plus d’un (1) milliard». Ils exigent le paiement des heures supplémentaires.
Faisant dans la menace, ils martèlent : «d’ici fin juin, si les heures supplémentaires ne sont pas payées, on va arrêter les gardes à partir de 17 heures. Et les week-ends et jours fériés, personne ne fera la garde».
«Non seulement la ville de Dakar doit nous verser la subvention de 200 millions de francs Cfa chaque année, mais elle ne la verse pas. Actuellement, elle nous doit un reliquat de 808 348 millions F Cfa », a déclaré leur secrétaire général.
Selon Makhfouz Aidara, «au moment où elle a arrêté les primes de motivation des travailleurs de Abass Ndao, à savoir les 25% des recettes, et pour les mettre à zéro (0), ils ont osé, eux, doubler leurs indemnités de présence. Au-delà de ça ils ont octroyé au chef du Service administratif et financier (Saf) une prime d’un million de F Cfa qui n’existent dans aucun hôpital de niveau 3».
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