«Le gouvernement a pensé résoudre le problème en augmentant seulement les bourses et en baissant les prix pour la restauration, mais le problème demeure entier parce qu’en dehors de la question sociale, il y a la question pédagogique. Aujourd’hui nous avons un retard d’un mois en plus de l’année de retard», a déclaré David Célestin Faye, enseignant au sein de cette université.
M. Faye, par ailleurs chargé de revendications du Saes se prononçait sur la situation au sein de cette université en marge d’un déjeuner de presse organisé mardi par ses camarades à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad).
Sur sa lancée, il explique que les difficultés qu’il a soulevées ne manqueront pas de ressurgir dans les prochains mois, voire les prochaines semaines car, les conditions ne sont plus réunies pour la poursuite des cours.
Cette situation, indique-t-il, découlera du manque de ressources financières qui guette l’Ugb d’autant plus que les étudiants ne vont pas payer une nouvelle fois les Droits d’inscription pédagogique (Dip), puisqu’ils l’ont déjà fait. Ce qui implique que les Unités de formation de et de recherche (Ufr) ne vont plus pouvoir fonctionner sans le concours de l’Etat.
Le syndicaliste d’ajouter : «Nous alertons sur les difficultés futures qui risquent de ressurgir si l’Etat ne respecte pas les engagements par rapport à l’Ugb. Aujourd’hui nous sommes à l’année 2018 bientôt en 2019 et nous sommes toujours à l’année 2017-2018. Et si on n’y prend garde le retard va s’accentuer s’il y a difficultés pédagogiques.»
M. Faye, par ailleurs chargé de revendications du Saes se prononçait sur la situation au sein de cette université en marge d’un déjeuner de presse organisé mardi par ses camarades à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad).
Sur sa lancée, il explique que les difficultés qu’il a soulevées ne manqueront pas de ressurgir dans les prochains mois, voire les prochaines semaines car, les conditions ne sont plus réunies pour la poursuite des cours.
Cette situation, indique-t-il, découlera du manque de ressources financières qui guette l’Ugb d’autant plus que les étudiants ne vont pas payer une nouvelle fois les Droits d’inscription pédagogique (Dip), puisqu’ils l’ont déjà fait. Ce qui implique que les Unités de formation de et de recherche (Ufr) ne vont plus pouvoir fonctionner sans le concours de l’Etat.
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