Le vice-président de l’association nationale des anciens militaires invalides du Sénégal, El hadj Mamadou Nago Gueye et le 2e vice-président chargé des militaires invalides Ousseynou Fall étaient ce vendredi sur le plateau de Midi Keng sur PressAfrikTvHD pour parler de leur mal vivre dû à leur situation d’invalide.
Selon El hadj Nago Gueye, répondant à une question de la journaliste, « il y a des invalides dont l’infirme est visible, mais invisible physiquement chez certains parce qu’intérieurement ». Plus grave ajoute, El hadji, il y a des « invalides qui sont obligés de prendre des comprimés pour ne reste que vider leur vessie ».
De son point de vue, il n’y « a pas pire que cela ». Il révèle que « certains sont dans l’obligation de prendre des comprimés pour assurer leur intimité avec leur épouse ». C’est une vie de misère ajoute Gueye. Des propos que son camarade Ousseynou Fall valide. « Toute sorte de maladies que vous pouvez imaginer est chez un invalide. Certains sont dans un tel état qu’ils n’ont aucun goût à la vie », renchérit-il. « Quelle autre vie est-elle pire que celle-là », s’interroge Ousseynou Fall.
El hadj d’affirmer que « la situation de certains militaires invalides épouse de la pitié » du fait de leur situation précaire. « Il y a des militaires qui ont été chassés de leur logement faute de paiement parce que la pension est maigre ».
Des pensions qu’il dit « avoir honte de révéler ». En effet, elle varie en fonction des taux et des corps selon lui et se chiffre entre « 40, 45, 50 mille francs CFA, et même plus » alors ce sont des « pères de famille ». « Nous ne devons pas souffrir autant parce que des invalides dans certains pays vivent bien ».
Selon El hadj Nago Gueye, répondant à une question de la journaliste, « il y a des invalides dont l’infirme est visible, mais invisible physiquement chez certains parce qu’intérieurement ». Plus grave ajoute, El hadji, il y a des « invalides qui sont obligés de prendre des comprimés pour ne reste que vider leur vessie ».
De son point de vue, il n’y « a pas pire que cela ». Il révèle que « certains sont dans l’obligation de prendre des comprimés pour assurer leur intimité avec leur épouse ». C’est une vie de misère ajoute Gueye. Des propos que son camarade Ousseynou Fall valide. « Toute sorte de maladies que vous pouvez imaginer est chez un invalide. Certains sont dans un tel état qu’ils n’ont aucun goût à la vie », renchérit-il. « Quelle autre vie est-elle pire que celle-là », s’interroge Ousseynou Fall.
El hadj d’affirmer que « la situation de certains militaires invalides épouse de la pitié » du fait de leur situation précaire. « Il y a des militaires qui ont été chassés de leur logement faute de paiement parce que la pension est maigre ».
Des pensions qu’il dit « avoir honte de révéler ». En effet, elle varie en fonction des taux et des corps selon lui et se chiffre entre « 40, 45, 50 mille francs CFA, et même plus » alors ce sont des « pères de famille ». « Nous ne devons pas souffrir autant parce que des invalides dans certains pays vivent bien ».
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