Sans surprise, Vladimir Poutine a réaffirmé à la tribune ses positions inchangées depuis le début de la guerre en Ukraine. Selon lui, « la crise n’a pas été déclenchée par l’attaque de la Russie en Ukraine », mais serait « le résultat d’un coup d’État en Ukraine, soutenu et provoqué par l’Occident ». Une référence au soulèvement pro-européen de Maïdan en 2014, que Vladimir Poutine présente comme la « cause profonde du conflit ».
Le président russe continue de jouer sur les divisions au sein de l’Union européenne. C'est d'ailleurs inédit pour un sommet régional à l’enceinte eurasiatique : le Premier ministre slovaque est présent et Robert Fico doit même rencontrer Vladimir Poutine. Le thème de la rencontre n’est pas connu, mais on sait que la Slovaquie, fortement dépendante du gaz russe, milite pour le maintien de ses approvisionnements énergétiques depuis Moscou.
En marge du sommet, un échange bilatéral entre le Premier ministre indien et le chef de l’État russe. Narendra Modi, en butte à l’hostilité et aux taxes douanières de Donald Trump, multiplie les gestes de défiance lors de ce sommet vis-à-vis de Washington. Le dirigeant indien, qui entend continuer à acheter du pétrole russe, a reçu ce lundi matin un soutien clair de Vladimir Poutine, signe de la volonté de maintenir ce partenariat traditionnel face au dégel des relations États-Unis–Russie.
Un soutien non verbal, mais marqué par une image forte. Il y a deux semaines, en Alaska, Vladimir Poutine était monté pour un trajet de quelques minutes dans la voiture officielle de Donald Trump. Ce lundi 1ᵉʳ septembre, c’est donc le chef de l’État russe qui a accueilli le dirigeant indien dans la sienne, une Taurus. Et les médias du pool du Kremlin l’ont tous signalé : arrivés à destination, les deux dirigeants sont restés une heure en tête-à-tête, les « yeux dans les yeux ».
Rien n’a filtré de leur conversation ni du rendez-vous officiel qui a suivi. Mais Narendra Modi a donné en public du « mon cher ami » à Vladimir Poutine, et a encore une fois souligné qu’il était attendu en décembre pour une visite officielle en Inde.
Le président russe continue de jouer sur les divisions au sein de l’Union européenne. C'est d'ailleurs inédit pour un sommet régional à l’enceinte eurasiatique : le Premier ministre slovaque est présent et Robert Fico doit même rencontrer Vladimir Poutine. Le thème de la rencontre n’est pas connu, mais on sait que la Slovaquie, fortement dépendante du gaz russe, milite pour le maintien de ses approvisionnements énergétiques depuis Moscou.
En marge du sommet, un échange bilatéral entre le Premier ministre indien et le chef de l’État russe. Narendra Modi, en butte à l’hostilité et aux taxes douanières de Donald Trump, multiplie les gestes de défiance lors de ce sommet vis-à-vis de Washington. Le dirigeant indien, qui entend continuer à acheter du pétrole russe, a reçu ce lundi matin un soutien clair de Vladimir Poutine, signe de la volonté de maintenir ce partenariat traditionnel face au dégel des relations États-Unis–Russie.
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