Sur les réseaux sociaux, Nicolas Sarkozy a annoncé ce samedi 8 février qu’il mettait "entre parenthèses" ses activités publiques d'ancien Président après sa "condamnation définitive" par les juridictions françaises dans l’affaire dite des écoutes.
"J'ai décidé de mettre entre parenthèses mes activités publiques d'ancien Président, et de renoncer à toute expression médiatique", a indiqué ce samedi 8 février Nicolas Sarkozy sur X, 24 heures après s'être vu poser un bracelet électronique, une première pour un ancien chef de l'État. "Je continuerai à exercer ma vie professionnelle comme j'en ai reçu le droit", a ajouté l'avocat de profession.
Pour rappel, dans l'affaire des écoutes, l'ancien président français a été définitivement condamné à un an d'emprisonnement ferme aménagé sous bracelet électronique, pour corruption et trafic d'influence.
Il ne peut désormais quitter son domicile qu'entre 8 heures et 20 heures - jusqu'à 21h30 les jours d'audience du procès dans l'affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne 2007 - pour lequel il est prévenu devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu'au 10 avril prochain. Un agent de surveillance électronique de l'administration pénitentiaire est venu vendredi à son domicile pour poser le bracelet à sa cheville, et paramétrer le dispositif.
Cette procédure avait été lancée après le rejet le 18 décembre dernier de son pourvoi en cassation, dernier recours possible devant les juridictions françaises.
"J'ai décidé de mettre entre parenthèses mes activités publiques d'ancien Président, et de renoncer à toute expression médiatique", a indiqué ce samedi 8 février Nicolas Sarkozy sur X, 24 heures après s'être vu poser un bracelet électronique, une première pour un ancien chef de l'État. "Je continuerai à exercer ma vie professionnelle comme j'en ai reçu le droit", a ajouté l'avocat de profession.
Pour rappel, dans l'affaire des écoutes, l'ancien président français a été définitivement condamné à un an d'emprisonnement ferme aménagé sous bracelet électronique, pour corruption et trafic d'influence.
Il ne peut désormais quitter son domicile qu'entre 8 heures et 20 heures - jusqu'à 21h30 les jours d'audience du procès dans l'affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne 2007 - pour lequel il est prévenu devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu'au 10 avril prochain. Un agent de surveillance électronique de l'administration pénitentiaire est venu vendredi à son domicile pour poser le bracelet à sa cheville, et paramétrer le dispositif.
Cette procédure avait été lancée après le rejet le 18 décembre dernier de son pourvoi en cassation, dernier recours possible devant les juridictions françaises.
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