
Au Sénégal, la situation politique est très tendue depuis un certain temps à moins d'un an de la présidentielle. Pour apaiser le climat, le constitutionnaliste Ngouda Mboup a invité le président Macky Sall et son principal opposant Ousmane Sonko à discuter. Il a donné l'exemple de l'ancien chef d'État Abdou Diouf et son opposant d'alors Abdoulaye Wade.
« Nous l'avons toujours réussi dans ce pays. La personne à qui incombe la responsabilité en premier, c'est le président de la république. Il est le garant de l'unité nationale. Il est un juge au dessus des partis. Les présidents Diouf et Wade étaient des gentlemen. A chaque fois que le pays était bloqué, ils se retrouvaient pour discuter. Parce-que en réalité, il faut que le pays reprenne pour l'intérêt supérieur du pays», a dit le professeur de droit, lors de l'émission grand jury de la Rfm.
M. Mboup s'est étonné que le président Sall reçoive l'opposition étrangère (en allusion à la visite de Marine Le Pen) et pas l'opposition de son pays. « Depuis combien de temps Macky Sall n'a pas reçu son opposition. Et pourtant il reçoit l'opposition étrangère. Ça ne s'explique pas. Charité bien ordonnée commence par soi-même ».
Interrogée sur la possibilité d'un tel dialogue, le président de de la haute autorité de régulation du Pastef, y croit dur comme fer. « Nous sommes entre Sénégalais. Rien n'est impossible. Je pense qu'il y a des gens dans ce pays qui sont de grandes personnalités. Ils pourraient jouer ce rôle. Et le Sénégal en vaut la peine».
« Nous l'avons toujours réussi dans ce pays. La personne à qui incombe la responsabilité en premier, c'est le président de la république. Il est le garant de l'unité nationale. Il est un juge au dessus des partis. Les présidents Diouf et Wade étaient des gentlemen. A chaque fois que le pays était bloqué, ils se retrouvaient pour discuter. Parce-que en réalité, il faut que le pays reprenne pour l'intérêt supérieur du pays», a dit le professeur de droit, lors de l'émission grand jury de la Rfm.
M. Mboup s'est étonné que le président Sall reçoive l'opposition étrangère (en allusion à la visite de Marine Le Pen) et pas l'opposition de son pays. « Depuis combien de temps Macky Sall n'a pas reçu son opposition. Et pourtant il reçoit l'opposition étrangère. Ça ne s'explique pas. Charité bien ordonnée commence par soi-même ».
Interrogée sur la possibilité d'un tel dialogue, le président de de la haute autorité de régulation du Pastef, y croit dur comme fer. « Nous sommes entre Sénégalais. Rien n'est impossible. Je pense qu'il y a des gens dans ce pays qui sont de grandes personnalités. Ils pourraient jouer ce rôle. Et le Sénégal en vaut la peine».
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