A Thiés le calme matinal de ce jeudi 15 août 2024 a été brutalement interrompu par un acte de violence extrême. P.S. Dieng, un homme sous surveillance électronique après avoir été élargi de prison, a été tué par une foule en colère. Il a mortellement agressé un peintre dans une tentative de vol de moto.
Le drame s’est produit á la cité Ousmane Ngom, aux alentours de 6h du matin. L'agresseur a porté un coup de couteau fatal à sa victime, qui a succombé à ses blessures sur place.
Cependant, P.S. Dieng n’a pas eu l’opportunité de s’enfuir avec la moto.
Alertée par les cris ou les bruits de l’altercation, une foule s'est rapidement formée. Face à la violence du crime, la colère de la foule a explosé. Le sieur Dieng, malgré son bracelet électronique qui signalait sa libération conditionnelle, a été violemment maîtrisé, battu, puis brûlé vif sur les lieux du crime.
Selon des sources proches de l'enquête, P.S. Dieng n'était pas un inconnu des forces de l'ordre. Il avait été déféré à plusieurs reprises pour des infractions graves, notamment pour association de malfaiteurs, vols et agressions. Son passé criminel lourd avait conduit à son emprisonnement, suivi d'une libération sous surveillance électronique, rapporte Rewmi Quotidien.
Les corps des deux hommes ont été transportés à la morgue de l'hôpital de Thiès pour autopsie, tandis que les forces de l'ordre, sous la direction du commissariat central de Thiès, ont ouvert une enquête pour faire la lumière sur cette tragédie.
Le drame s’est produit á la cité Ousmane Ngom, aux alentours de 6h du matin. L'agresseur a porté un coup de couteau fatal à sa victime, qui a succombé à ses blessures sur place.
Cependant, P.S. Dieng n’a pas eu l’opportunité de s’enfuir avec la moto.
Alertée par les cris ou les bruits de l’altercation, une foule s'est rapidement formée. Face à la violence du crime, la colère de la foule a explosé. Le sieur Dieng, malgré son bracelet électronique qui signalait sa libération conditionnelle, a été violemment maîtrisé, battu, puis brûlé vif sur les lieux du crime.
Selon des sources proches de l'enquête, P.S. Dieng n'était pas un inconnu des forces de l'ordre. Il avait été déféré à plusieurs reprises pour des infractions graves, notamment pour association de malfaiteurs, vols et agressions. Son passé criminel lourd avait conduit à son emprisonnement, suivi d'une libération sous surveillance électronique, rapporte Rewmi Quotidien.
Les corps des deux hommes ont été transportés à la morgue de l'hôpital de Thiès pour autopsie, tandis que les forces de l'ordre, sous la direction du commissariat central de Thiès, ont ouvert une enquête pour faire la lumière sur cette tragédie.
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