Semer la haine sur les réseaux sociaux n’est pas sanctionné, mais, en contrepartie s’exprimer librement est puni, notamment lorsqu’un internaute critique la politique du gouvernement en période de pandémie. C’est l’une des conclusions du rapport intitulé « L'année de toutes les menaces » publié début juillet par le Collectif civil pour les libertés individuelles, un regroupement d’associations qui œuvre depuis 2016 à souligner les avancées ou les reculs en matière de droits en Tunisie.
Dans le contexte de la crise sanitaire, le collectif a collecté plusieurs témoignages de violations et d’atteintes touchant notamment les droits des femmes, des personnes LGBTQ et des migrants subsahariens.
Dynamisme de la société civile
Enfin, le droit de manifester, garanti par la constitution, a été mis à rude épreuve début janvier lorsque de nombreux jeunes sont sortis exprimer leur ras-le-bol, donnant lieu à de nombreuses arrestations.
La crise sanitaire et les mesures exceptionnelles qui l’ont accompagné ont engendré la limitation de droits et de libertés selon le rapport. Le dynamisme de la société civile pour se mobiliser face aux abus reste un point positif, mais le pays souffre encore d’un manque d’harmonisation entre sa constitution de 2014 et le système législatif actuel, encore utilisé de façon souvent répressive.
Dans le contexte de la crise sanitaire, le collectif a collecté plusieurs témoignages de violations et d’atteintes touchant notamment les droits des femmes, des personnes LGBTQ et des migrants subsahariens.
Dynamisme de la société civile
Enfin, le droit de manifester, garanti par la constitution, a été mis à rude épreuve début janvier lorsque de nombreux jeunes sont sortis exprimer leur ras-le-bol, donnant lieu à de nombreuses arrestations.
La crise sanitaire et les mesures exceptionnelles qui l’ont accompagné ont engendré la limitation de droits et de libertés selon le rapport. Le dynamisme de la société civile pour se mobiliser face aux abus reste un point positif, mais le pays souffre encore d’un manque d’harmonisation entre sa constitution de 2014 et le système législatif actuel, encore utilisé de façon souvent répressive.
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