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UE: «Brexit» et crise des réfugiés au menu du sommet de Bruxelles

Deux sujets majeurs sont à l'ordre du jour du sommet européen jeudi et vendredi à Bruxelles. Premièrement, les aménagements demandés par le Premier ministre britannique David Cameron pour qu'il puisse faire campagne en faveur du maintien de son pays dans l'Union, en vue du référendum envisagé dès l'été prochain. Deuxièmement, la crise des migrants, avec notamment les efforts demandés à la Grèce pour qu'elle reste dans l'espace Schengen, et la mise en pratique de l'accord avec la Turquie pour faire baisser le nombre de migrants.



L'urgence pour les 28 chefs d'Etats et de gouvernements de l'Union, c'est en effet d'endiguer le flux de migrants. Pour cela, deux axes d'action: aider la Grèce à mieux organiser l'accueil et le tri des migrants, et s'assurer de la bonne volonté de la Turquie, notamment dans la lutte contre les passeurs.

Il y a urgence. A l’approche du printemps, les arrivées de migrants sur les îles grecques de la mer Egée pourraient se multiplier. Et les passeurs ne manquent jamais l’occasion d’exploiter les tensions à l’intérieur des Etats et entre les Etats.

Si le flux de migrants illégaux est endigué, il deviendra alors possible d’envisager des réinstallations. Des réfugiés syriens qui se trouvent en Turquie, en Jordanie et au Liban pourraient être autorisés à venir en Europe, sans devoir risquer une traversée périlleuse par l’entremise des passeurs.

L’Autriche a décidé de limiter l’entrée des demandeurs d’asile

 
 

La réadmission des migrants illégaux de la Grèce vers la Turquie fait partie du scénario souhaité par les Vingt-Huit, qui évoquent aussi la surveillance des frontières grecques avec des moyens de l’OTAN. Mais le temps presse. La tentation d’actions non coordonnées est de plus en plus grande.

L'Autriche a décidé de restreindre l'accès à son territoire aux demandeurs d'asile. Elle s'est rapprochée également du groupe de Visegrad qui réunit la Pologne, la Hongrie, la République tchèque et la Slovaquie. Ces quatre pays, membres de l’espace Schengen, souhaitent comme réponse à la crise des migrants, la fermeture pure et simple des frontières. Ils demandent aussi l'exclusion, au moins provisoire, de la Grèce de l'espace Schengen. De son côté, Athènes se targue d’avoir rempli ses obligations, notamment l’installation des « hotspots  », les centres d’accueil et de tri des migrants sur les îles de la mer Egée.

 


L'urgence pour les 28 chefs d'Etats et de gouvernements de l'Union, c'est en effet d'endiguer le flux de migrants. Pour cela, deux axes d'action: aider la Grèce à mieux organiser l'accueil et le tri des migrants, et s'assurer de la bonne volonté de la Turquie, notamment dans la lutte contre les passeurs.

Il y a urgence. A l’approche du printemps, les arrivées de migrants sur les îles grecques de la mer Egée pourraient se multiplier. Et les passeurs ne manquent jamais l’occasion d’exploiter les tensions à l’intérieur des Etats et entre les Etats.

Si le flux de migrants illégaux est endigué, il deviendra alors possible d’envisager des réinstallations. Des réfugiés syriens qui se trouvent en Turquie, en Jordanie et au Liban pourraient être autorisés à venir en Europe, sans devoir risquer une traversée périlleuse par l’entremise des passeurs.

L’Autriche a décidé de limiter l’entrée des demandeurs d’asile

 
 

La réadmission des migrants illégaux de la Grèce vers la Turquie fait partie du scénario souhaité par les Vingt-Huit, qui évoquent aussi la surveillance des frontières grecques avec des moyens de l’OTAN. Mais le temps presse. La tentation d’actions non coordonnées est de plus en plus grande.

L'Autriche a décidé de restreindre l'accès à son territoire aux demandeurs d'asile. Elle s'est rapprochée également du groupe de Visegrad qui réunit la Pologne, la Hongrie, la République tchèque et la Slovaquie. Ces quatre pays, membres de l’espace Schengen, souhaitent comme réponse à la crise des migrants, la fermeture pure et simple des frontières. Ils demandent aussi l'exclusion, au moins provisoire, de la Grèce de l'espace Schengen. De son côté, Athènes se targue d’avoir rempli ses obligations, notamment l’installation des « hotspots  », les centres d’accueil et de tri des migrants sur les îles de la mer Egée.

Source:Rfi.fr



Jeudi 18 Février 2016 - 08:28


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