Des accrochages ont opposé les forces de l’ordre à des manifestants de l’opposition dans la capitale guinéenne, Conakry.
La police anti-émeute a fait usage de gaz lacrymogène face à des jeunes qui jetaient des cailloux en marchant sur des principales routes de la ville.
Les partis d’opposition ont appelé à marcher jeudi pour protester contre ce qui, selon eux, est une décision unilatérale du président Alpha Condé d’organiser des élections législative le 30 juin.
Selon les opposants, le chef de l’Etat guinéen a ignoré leur exigence concernant la liste électorale et la participation au scrutin des Guinéens vivant à l’étranger.
Ces élections législatives reportées à plusieurs reprises sont censées mettre fin à la transition enclenchée après le coup d’Etat de 2008, survenu suite à la mort du président Lansana Conté.
Les incidents de jeudi se sont produits dans des quartiers réputés favorables à l'opposition.
Il s'agit de Cosa, Bambéto et Matoto, mais aussi Gbessia (près de l'aéroport) où les opposants avaient appelé à un rassemblement avant une marche qui devait se diriger vers le centre-ville.
Dans un communiqué, le gouvernement dénonce la décision de l’opposition d’avoir voulu faire sa marche sur un itinéraire qui n’a pas été agréé.
Le porte-parole du gouvernement, Damantang Albert Camara, a mentionné "plusieurs interpellations et deux blessés" hospitalisés, selon un premier bilan.
La police anti-émeute a fait usage de gaz lacrymogène face à des jeunes qui jetaient des cailloux en marchant sur des principales routes de la ville.
Les partis d’opposition ont appelé à marcher jeudi pour protester contre ce qui, selon eux, est une décision unilatérale du président Alpha Condé d’organiser des élections législative le 30 juin.
Selon les opposants, le chef de l’Etat guinéen a ignoré leur exigence concernant la liste électorale et la participation au scrutin des Guinéens vivant à l’étranger.
Ces élections législatives reportées à plusieurs reprises sont censées mettre fin à la transition enclenchée après le coup d’Etat de 2008, survenu suite à la mort du président Lansana Conté.
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