La crise qui sévit à l’Université Gaston (UGB) de Saint-Louis depuis la mort de Fallou Sène, l’étudiant tué par balle lors des affrontements avec les forces de l’ordre, se poursuit. La Coordination des étudiants de ladite institution décrète un nouveau mot d’ordre de journées sans ticket illimitées, non-paiement des chambres pour quatre (4) mois. Cette fois-ci, ses membres dénoncent l’insalubrité qui prévaut au sein du campus.
« Nous sommes en train de vivre une chaîne de souffrances et les autorités sont insensibles à cela », fulmine la Coordination des étudiants de l’UGB. Son président, Daouda Sagna, informe que des eaux usées envahissent la devanture de leurs chambres. « L’eau des fosses septiques se déversent à tort et à raison dans le campus et sans remède», pestent les étudiants.
Face à cette insalubrité, les étudiants ont décrété des JST (journées Sans Tickets, ndlr) illimitées, des non-paiements de chambre pour quatre (4) mois.
Sagna de rappeler qu’ « après l’acte posé le 10 avril passé (des bureaux d'enseignants et le Rectorat ont été vandalisés et saccagés , ndlr), nous sommes victimes de dénigrement par certains professeurs et par certains syndicats Saes UGB (Syndicat autonome des enseignants supérieurs section UGB, ndlr) ».
« Nous sommes en train de vivre une chaîne de souffrances et les autorités sont insensibles à cela », fulmine la Coordination des étudiants de l’UGB. Son président, Daouda Sagna, informe que des eaux usées envahissent la devanture de leurs chambres. « L’eau des fosses septiques se déversent à tort et à raison dans le campus et sans remède», pestent les étudiants.
Face à cette insalubrité, les étudiants ont décrété des JST (journées Sans Tickets, ndlr) illimitées, des non-paiements de chambre pour quatre (4) mois.
Nous ne pouvons plus reculer, nous sommes en guerreIls appellent, « toutes l’opinion nationale et internationale à réagir parce qu’il est temps». Ce faisant, dans la menace, les étudiants qui crient au secours, préviennent que « la coordination n'hésitera pas à utiliser les moyens de lutte traditionnels pour prévaloir sur ce que de droit. Nous ne pouvons plus reculer, nous sommes en état de guerre ».
Sagna de rappeler qu’ « après l’acte posé le 10 avril passé (des bureaux d'enseignants et le Rectorat ont été vandalisés et saccagés , ndlr), nous sommes victimes de dénigrement par certains professeurs et par certains syndicats Saes UGB (Syndicat autonome des enseignants supérieurs section UGB, ndlr) ».
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