«Nous avons appris avec beaucoup de tristesse, beaucoup d’émotion mais beaucoup de chagrin le décès. Fatoumata Makhtar Ndiaye était une sœur pour moi. Nous avons partagé la 9e législature en tant que députés. Je ne peux pas parler d’elle parce que je ne pourrais pas trouver les qualificatifs pour décrire ses qualités exceptionnelles. Une grande dame politique dans le vrai sens étymologique du mot. Elle a contribué au développement et au rayonnement de ce pays. Une femme calme, sérieuse, combative. Donc, c’est cette femme-là que nous avons perdu. Quand j’ai appris cette triste nouvelle, j’ai pleuré et je continue à pleurer», confie Moustapha Cissé LO à Pikine.
Le vice-président de l’Assemblée nationale demande à punir cet acte horrible. Et contrairement à Benoît Sambou, son camarade de parti, il est pour le retour de la peine de mort. «Oui pour la peine de mort. C’est l’Islam qui nous le recommande. La peine de mort doit exister si nous sommes des croyants, si nous croyons en Allah Le Tout Puissant, qui dit: «Si quelqu’un tue, de volonté, il faut le tuer ». Il faut tuer c’est aussi simple que ça», assène-t-il.
Poursuivant son intervention, le responsable de l’Alliance Pour la République (APR, parti présidentiel) pense que «c’est une question qu’il faut discuter. Une question qu’il faut mettre sur la table».
Le vice-président de l’Assemblée nationale demande à punir cet acte horrible. Et contrairement à Benoît Sambou, son camarade de parti, il est pour le retour de la peine de mort. «Oui pour la peine de mort. C’est l’Islam qui nous le recommande. La peine de mort doit exister si nous sommes des croyants, si nous croyons en Allah Le Tout Puissant, qui dit: «Si quelqu’un tue, de volonté, il faut le tuer ». Il faut tuer c’est aussi simple que ça», assène-t-il.
Poursuivant son intervention, le responsable de l’Alliance Pour la République (APR, parti présidentiel) pense que «c’est une question qu’il faut discuter. Une question qu’il faut mettre sur la table».
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