Donald Trump a menacé samedi le Venezuela de conséquences « incalculables » s’il ne récupérait pas des « prisonniers et internés des hôpitaux psychiatriques » que le président américain accuse d’avoir été « poussés » vers les États-Unis par ce pays, avec lequel la tension monte depuis plusieurs semaines.
« Nous voulons que le Venezuela accepte immédiatement tous les prisonniers et internés d’hôpitaux psychiatriques […] que les dirigeants vénézuéliens ont poussé de force vers les États-Unis », a écrit le président américain sur son réseau Truth Social, ajoutant, en lettres capitales : « Faites-les dégager de notre pays immédiatement, sinon le prix que vous paierez sera incalculable. » Les États-Unis ont déployé plusieurs navires militaires dans la région.
Il a ajouté, en lettres capitales : « Faites-les dégager de notre pays immédiatement, sinon le prix que vous paierez sera incalculable ». Donald Trump, qui a engagé les États-Unis dans une lutte implacable contre l’immigration illégale en multipliant les expulsions, a récemment fait monter la pression diplomatique et militaire sur le Venezuela. Les États-Unis ont déployé, officiellement pour une opération antidrogue, plusieurs bâtiments de guerre dans les Caraïbes et dix avions de combat F-35 à Porto Rico, territoire de la région rattaché aux États-Unis.
« Plan impérial »
Washington accuse le président vénézuélien Nicolás Maduro et son gouvernement d’être à la tête d’une vaste organisation de trafic de drogue vers les États-Unis, et a annoncé avoir récemment détruit plusieurs bateaux de « narcoterroristes ».
Caracas dément vigoureusement ces accusations et, en réponse au déploiement américain considéré comme une « menace militaire », Caracas a lancé des exercices militaires sur l’île caribéenne de La Orchila, à environ 65 kilomètres du continent vénézuélien. Nicolás Maduro, au pouvoir non reconnu par les États-Unis, a dénoncé « un plan impérial visant à un changement de régime » pour « voler le pétrole » du pays, son ministre de la Défense y voyant une « guerre non déclarée ».
Avec AFP
« Nous voulons que le Venezuela accepte immédiatement tous les prisonniers et internés d’hôpitaux psychiatriques […] que les dirigeants vénézuéliens ont poussé de force vers les États-Unis », a écrit le président américain sur son réseau Truth Social, ajoutant, en lettres capitales : « Faites-les dégager de notre pays immédiatement, sinon le prix que vous paierez sera incalculable. » Les États-Unis ont déployé plusieurs navires militaires dans la région.
Il a ajouté, en lettres capitales : « Faites-les dégager de notre pays immédiatement, sinon le prix que vous paierez sera incalculable ». Donald Trump, qui a engagé les États-Unis dans une lutte implacable contre l’immigration illégale en multipliant les expulsions, a récemment fait monter la pression diplomatique et militaire sur le Venezuela. Les États-Unis ont déployé, officiellement pour une opération antidrogue, plusieurs bâtiments de guerre dans les Caraïbes et dix avions de combat F-35 à Porto Rico, territoire de la région rattaché aux États-Unis.
« Plan impérial »
Washington accuse le président vénézuélien Nicolás Maduro et son gouvernement d’être à la tête d’une vaste organisation de trafic de drogue vers les États-Unis, et a annoncé avoir récemment détruit plusieurs bateaux de « narcoterroristes ».
Caracas dément vigoureusement ces accusations et, en réponse au déploiement américain considéré comme une « menace militaire », Caracas a lancé des exercices militaires sur l’île caribéenne de La Orchila, à environ 65 kilomètres du continent vénézuélien. Nicolás Maduro, au pouvoir non reconnu par les États-Unis, a dénoncé « un plan impérial visant à un changement de régime » pour « voler le pétrole » du pays, son ministre de la Défense y voyant une « guerre non déclarée ».
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