En effet, à l’ordre du jour du Conseil des ministres tenu hier jeudi, la vente illicite d’aliments périmés et de médicaments dans les rues et dans certaines boutiques le chef de l’Etat a requis de la part du gouvernement « une action coercitive sans répit ».
Ce, « afin de juguler ces phénomènes qui exposent les populations à des risques sanitaires élevés ».
Loin de s’en arrêter là, le président Sall a aussi demandé au gouvernement de « mettre en place un dispositif d’alerte précoce et de développer au plan national, une vigilance accrue et des mesures de police sanitaire sur la qualité des produits de consommation, les denrées alimentaires notamment ».
Mieux, à quelques jours de la Tabaski, il a également invité le gouvernement à accorder une attention particulière à la question de la santé animale.
Ce, « afin de juguler ces phénomènes qui exposent les populations à des risques sanitaires élevés ».
Loin de s’en arrêter là, le président Sall a aussi demandé au gouvernement de « mettre en place un dispositif d’alerte précoce et de développer au plan national, une vigilance accrue et des mesures de police sanitaire sur la qualité des produits de consommation, les denrées alimentaires notamment ».
Mieux, à quelques jours de la Tabaski, il a également invité le gouvernement à accorder une attention particulière à la question de la santé animale.
Autres articles
-
Budget de la Santé 2026 : le ministère justifie la hausse de ses crédits
-
Ousmane Sonko engage Pastef dans une mobilisation politique et citoyenne accrue
-
Sénégal : le président de l’Assemblée nationale annonce la relance du Parlement des enfants
-
Rufisque : un budget record de 6,5 milliards FCFA pour 2026 et des projets structurants
-
Audition de Farba Ngom au PJF : la défense se dit confiante




Budget de la Santé 2026 : le ministère justifie la hausse de ses crédits


