Le « baccalauréat sénégalais, premier diplôme de l’enseignement supérieur, a toujours occupé une place honorable au niveau des grandes universités européennes, grâce au système d’enseignement de qualité dispensé », a relevé le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
Mary Teuw Niane qui s’exprimait à Saint-Louis lors de l’ouverture de l’atelier de réflexion sur le baccalauréat en présence d’universitaires, de représentants des syndicats d’enseignants, de membres de la société civile et de différents acteurs de l’éducation au Sénégal, n’a pas manqué de souligner « la nécessité de reformer le Bac (qui) fait suite à la mise en œuvre de la grande reforme de l’enseignement supérieur, après la tenue du conseil présidentiel de 2013 et qui a abouti à une orientation des formations supérieures vers les sciences et la technologie ».
« Cette réforme du Bac répond au souci de mieux sécuriser le système des examens, suite aux fuites décelées lors du Bac 2017, ce qui avait fini de contrarier la réforme décidée depuis plus deux ans », a-t-il noté, précisant qu’ « une plainte est en cours auprès du Procureur de la République pour sanctionner les auteurs de cette indélicatesse qui, à travers un modus operandi, ont cherché à décrédibiliser le baccalauréat sénégalais ».
Revenant à la charge, le directeur de l’Office national du Bac, Babou Diakham a soutenu que la réforme vient « à son heure et permettra de changer le contexte, face au développement des réseaux sociaux, afin d’arriver à une fiabilité des examens, pour une crédibilité du baccalauréat, qui passera par un renouveau du système éducatif ».
Avec APS
Mary Teuw Niane qui s’exprimait à Saint-Louis lors de l’ouverture de l’atelier de réflexion sur le baccalauréat en présence d’universitaires, de représentants des syndicats d’enseignants, de membres de la société civile et de différents acteurs de l’éducation au Sénégal, n’a pas manqué de souligner « la nécessité de reformer le Bac (qui) fait suite à la mise en œuvre de la grande reforme de l’enseignement supérieur, après la tenue du conseil présidentiel de 2013 et qui a abouti à une orientation des formations supérieures vers les sciences et la technologie ».
« Cette réforme du Bac répond au souci de mieux sécuriser le système des examens, suite aux fuites décelées lors du Bac 2017, ce qui avait fini de contrarier la réforme décidée depuis plus deux ans », a-t-il noté, précisant qu’ « une plainte est en cours auprès du Procureur de la République pour sanctionner les auteurs de cette indélicatesse qui, à travers un modus operandi, ont cherché à décrédibiliser le baccalauréat sénégalais ».
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