Le journaliste, Nguyen Lan Thang est connu pour avoir relaté les nombreuses manifestations et violations des droits de l'homme dans son pays. Les ONG ont dénoncé une nouvelle attaque à la liberté d'expression et appelé à sa libération immédiate alors que son procès a été expéditif et n’a duré qu'une journée. Il s'est déroulé à huis clos, en la présence uniquement de l'épouse et des avocats du prévenu.
Arrêté en juillet 2022, le journaliste de 48 ans a écopé d'une lourde peine de prison pour avoir notamment partagé sur les réseaux sociaux des vidéos tournées dans des manifestations en faveur de l'environnement. Auteur de plus de 130 articles sur son blog, collaborateur de longue date de Radio Free Asia, Nguyen Lan Thang n'a eu de cesse durant sa carrière de défendre les droits de l'homme, la liberté de religion et de dénoncer toutes formes d'injustices. Il s'est rendu sur des sites de confiscation forcée de terres pour filmer l'usage excessif de la force par les autorités et a aussi participé à de nombreuses manifestations en faveur de l'environnement, selon l'ONG Human Rights Watch.
Le blogueur a été condamné en vertu de l’article 117 du Code pénal vietnamien, qui prévoit la peine la plus sévère que le régime puisse imposer aux dissidents, à savoir l’accusation de « mener une propagande contre l’État ». Le Vietnam impose depuis des années des restrictions strictes concernant la liberté d'expression, en particulier contre les auteurs largement suivis sur les réseaux sociaux, qui sont immédiatement réduits au silence et jetés en prison. Et les médias indépendants sont également proscrits.
Arrêté en juillet 2022, le journaliste de 48 ans a écopé d'une lourde peine de prison pour avoir notamment partagé sur les réseaux sociaux des vidéos tournées dans des manifestations en faveur de l'environnement. Auteur de plus de 130 articles sur son blog, collaborateur de longue date de Radio Free Asia, Nguyen Lan Thang n'a eu de cesse durant sa carrière de défendre les droits de l'homme, la liberté de religion et de dénoncer toutes formes d'injustices. Il s'est rendu sur des sites de confiscation forcée de terres pour filmer l'usage excessif de la force par les autorités et a aussi participé à de nombreuses manifestations en faveur de l'environnement, selon l'ONG Human Rights Watch.
Le blogueur a été condamné en vertu de l’article 117 du Code pénal vietnamien, qui prévoit la peine la plus sévère que le régime puisse imposer aux dissidents, à savoir l’accusation de « mener une propagande contre l’État ». Le Vietnam impose depuis des années des restrictions strictes concernant la liberté d'expression, en particulier contre les auteurs largement suivis sur les réseaux sociaux, qui sont immédiatement réduits au silence et jetés en prison. Et les médias indépendants sont également proscrits.
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