L’affaire du présumé viol de la jeune femme, âgée de 21 ans, testée positive au coronavirus, qui a eu lieu à l’hôtel Novotel-Dakar où les cas contacts du virus étaient pris en charge au début de la pandémie, livre quelques secrets. Le présumé violeur, un agent hygiéniste de la Croix-Rouge sénégalaise, a été arrêté puis placé en garde à vue.
Selon L’Observateur qui donne l’information, lors de son face-à-face avec les enquêteurs, le mis en cause du nom de B.N a nié les faits qui lui sont reprochés. Pour sa défense, il déclare qu’en s'introduisant dans la chambre de la patiente, il avait effectivement enfilé son uniforme constitué « d’une blouse blanche, de gants de protection, d’un bonnet et d’une combinaison de protection ».
Invité à présenter cet uniforme qu’il disait avoir rangé dans son casier de service, B.N sera incapable de le faire. Le journal informe que les enquêteurs n’ont retrouvé ni les combinaisons ni les gants que portait le présumé violeur le jour des faits.
Sur les accusations de la victime comme quoi il avait passé autant de temps dans sa chambre, l’agent de la Croix-Rouge donne la raison. Il déclare : c’est parce que je tentais de consoler la patiente désarçonnée ».
B.N est accusé par la patiente « d’attouchement sexuels sur ses parties intimes » et de « conjonction sexuelle avec contrainte ».
Selon L’Observateur qui donne l’information, lors de son face-à-face avec les enquêteurs, le mis en cause du nom de B.N a nié les faits qui lui sont reprochés. Pour sa défense, il déclare qu’en s'introduisant dans la chambre de la patiente, il avait effectivement enfilé son uniforme constitué « d’une blouse blanche, de gants de protection, d’un bonnet et d’une combinaison de protection ».
Invité à présenter cet uniforme qu’il disait avoir rangé dans son casier de service, B.N sera incapable de le faire. Le journal informe que les enquêteurs n’ont retrouvé ni les combinaisons ni les gants que portait le présumé violeur le jour des faits.
Sur les accusations de la victime comme quoi il avait passé autant de temps dans sa chambre, l’agent de la Croix-Rouge donne la raison. Il déclare : c’est parce que je tentais de consoler la patiente désarçonnée ».
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