Ce sont plusieurs centaines de soldats des forces spéciales qui vont être redéployés en Somalie, à partir de pays de la région. Le chiffre exact n’est pas précisé, mais le New York Times croit savoir que ce sera autour de 450.
Au moment du retrait décidé par Donald Trump, ils étaient environ 700. Depuis, des soldats américains faisaient des aller-retours pour entraîner et conseiller des soldats somaliens et de l’Union africaine.
Ce nouveau dispositif est de nature à renforcer l’efficacité de l’action américaine. Selon un haut responsable de l’administration, la stratégie de la Maison Blanche est de limiter la menace des shebabs en supprimant leurs capacités à planifier et à mener des opérations lourdes.
En plus de cette décision, le président américain donne aussi son accord pour cibler une douzaine de responsables shebabs. C’est aussi un changement important.
À son arrivée au pouvoir, le président américain Joe Biden avait suspendu un ensemble de règles plutôt permissives concernant les frappes ciblées. Depuis, sauf en cas de légitime défense, il fallait en référer avant à la Maison Blanche.
Le renseignement américain estime entre 5 000 et 10 000 le nombre de miliciens qui agissent essentiellement en Somalie, mais aussi dans les pays voisins. Une menace suffisamment sérieuse pour justifier ce renforcement de la présence militaire américaine sur place.
Au moment du retrait décidé par Donald Trump, ils étaient environ 700. Depuis, des soldats américains faisaient des aller-retours pour entraîner et conseiller des soldats somaliens et de l’Union africaine.
Ce nouveau dispositif est de nature à renforcer l’efficacité de l’action américaine. Selon un haut responsable de l’administration, la stratégie de la Maison Blanche est de limiter la menace des shebabs en supprimant leurs capacités à planifier et à mener des opérations lourdes.
En plus de cette décision, le président américain donne aussi son accord pour cibler une douzaine de responsables shebabs. C’est aussi un changement important.
À son arrivée au pouvoir, le président américain Joe Biden avait suspendu un ensemble de règles plutôt permissives concernant les frappes ciblées. Depuis, sauf en cas de légitime défense, il fallait en référer avant à la Maison Blanche.
Le renseignement américain estime entre 5 000 et 10 000 le nombre de miliciens qui agissent essentiellement en Somalie, mais aussi dans les pays voisins. Une menace suffisamment sérieuse pour justifier ce renforcement de la présence militaire américaine sur place.
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