Les éléments du Groupement mobile d’intervention (Gmi) en poste à Ziguinchor sont dans tous leurs états après 10 mois restés sans percevoir leurs primes. En effet, la région sud du Sénégal étant considérée comme zone de mission, les militaires et paramilitaires qui y sont affectés perçoivent des sommes en guise de frais.
Ainsi entre la Gendarmerie, l’armée et la police qui sont concernées par cette mesure, seule cette dernière n’est pas encore entrée dans ses fonds. Et pourtant, il était convenu que, si les soldats et les gendarmes devaient recevoir leurs dus à chaque fin du mois, les policiers eux, devaient rentrer dans leurs fonds à chaque fin de semestre.
Mais, il s’est trouvé que depuis le mois de juin, la somme ne leur a pas été versée. Ce qui les met dans tous leurs états. L’un d’entre eux, qui s’est prononcé dans les colonnes du journal Les Echos, a étalé sa frustration devant un tel manque de considération, d’autant plus que jusqu’à présent, aucune information ne leur a été donnée.
«Nos chefs ne nous donnent pas d’informations claires face à cette situation. Personne ne prend la peine de nous dire réellement ce qui se passe dans cette affaire. Nous devions percevoir un rappel de six mois depuis juin mais depuis lors, on n’a rien reçu. Et ce qui est plus grave, aucune autorité de la police n’est venue vers la troupe pour informer des éléments sur le retard», a-t-il martelé.
Ces éléments se disent inquiets surtout avec la rentrée scolaire. Selon eux, ils ont laissé passer la Korité et la Tabaski, il est impensable que ce soit le cas aujourd’hui, avec les frais de scolarité dont ils doivent s’acquitter.
Ainsi entre la Gendarmerie, l’armée et la police qui sont concernées par cette mesure, seule cette dernière n’est pas encore entrée dans ses fonds. Et pourtant, il était convenu que, si les soldats et les gendarmes devaient recevoir leurs dus à chaque fin du mois, les policiers eux, devaient rentrer dans leurs fonds à chaque fin de semestre.
Mais, il s’est trouvé que depuis le mois de juin, la somme ne leur a pas été versée. Ce qui les met dans tous leurs états. L’un d’entre eux, qui s’est prononcé dans les colonnes du journal Les Echos, a étalé sa frustration devant un tel manque de considération, d’autant plus que jusqu’à présent, aucune information ne leur a été donnée.
«Nos chefs ne nous donnent pas d’informations claires face à cette situation. Personne ne prend la peine de nous dire réellement ce qui se passe dans cette affaire. Nous devions percevoir un rappel de six mois depuis juin mais depuis lors, on n’a rien reçu. Et ce qui est plus grave, aucune autorité de la police n’est venue vers la troupe pour informer des éléments sur le retard», a-t-il martelé.
Ces éléments se disent inquiets surtout avec la rentrée scolaire. Selon eux, ils ont laissé passer la Korité et la Tabaski, il est impensable que ce soit le cas aujourd’hui, avec les frais de scolarité dont ils doivent s’acquitter.
Autres articles
-
Tragédie à Diamaguène Sicap Mbao: pour une dette de 200 FCFA, un homme poignardé à mort
-
Sécurité frontalière : plus de 10 000 comprimés de Tramadol saisis à Moussala
-
Coubalan : le Président Bassirou Diomaye Faye annonce la mise en place de coopératives agricoles communautaires
-
Casamance : plus de 2,2 millions de mètres carrés déminés, près de 870 victimes recensées (CNAMS)
-
Campagne agricole 2025 : le président du CNCR salue de bons résultats mais alerte sur les semences





Tragédie à Diamaguène Sicap Mbao: pour une dette de 200 FCFA, un homme poignardé à mort


