Selon le président ukrainien, le bombardement russe de Kharkiv est un "crime de guerre".
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé mardi que le bombardement russe de Kharkiv [deuxième plus grande ville d'Ukraine] constituait un "crime de guerre", et a souligné que la défense de la capitale Kiev était la "priorité". "La frappe contre Kharkiv est un crime de guerre. C'est du terrorisme d'État", a affirmé M. Zelensky dans une adresse vidéo publiée sur Telegram. "Ils avancent sur la capitale comme sur Kharkiv. Voilà pourquoi la défense de la capitale est aujourd'hui la priorité clé [de l'Ukraine]", a-t-il ajouté.
Au sixième jour de la guerre, les troupes russes s’enfoncent un peu plus dans le territoire ukrainien, avançant vers la capitale et établissant des checkpoints aux abords de quelques villes et villages.
Le centre de Kharkiv, deuxième plus grande ville d'Ukraine, non loin de la frontière russe, est la cible de bombardements russes. Une frappe a notamment visé le siège de l'administration locale.
L’armée russe a atteint Kherson mardi et a établi des checkpoints aux abords de cette ville située dans le sud du pays, près de la Crimée.
Dans la ville de Okhtyrka, dans le nord-est du pays, près de 70 soldats ukrainiens ont été tués lundi dans un bombardement, selon le gouverneur local.
"Nous allons provoquer l'effondrement de l'économie russe [à travers les sanctions économiques occidentales imposées en réponse à l'invasion russe en Ukraine]", a affirmé de son côté le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire.
Le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov, un allié du président Vladimir Poutine, a annoncé mardi les premières pertes parmi ses combattants, avec deux soldats tchétchènes tués et six blessés.
La Cour pénale internationale envisage d’ouvrir une enquête concernant l’invasion russe et l’Ukraine et des crimes de guerre supposés.
Kiev a déclaré que 352 civils ont été tués, dont 14 enfants, depuis le début de l’invasion jeudi dernier.
L’Agence des Nations Unies pour les réfugiés a annoncé que plus d’un demi millions de personnes avaient fui l’Ukraine vers les pays voisins.
Lors d’un entretien téléphonique avec le président Emmanuel Macron, Vladimir Poutine a déclaré que "la démilitarisation et la dénazification" de l’Ukraine, ainsi que la reconnaissance par les pays occidentaux de la souveraineté russe sur la péninsule de Crimée, étaient des prérequis à l’arrêt des combats.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé mardi que le bombardement russe de Kharkiv [deuxième plus grande ville d'Ukraine] constituait un "crime de guerre", et a souligné que la défense de la capitale Kiev était la "priorité". "La frappe contre Kharkiv est un crime de guerre. C'est du terrorisme d'État", a affirmé M. Zelensky dans une adresse vidéo publiée sur Telegram. "Ils avancent sur la capitale comme sur Kharkiv. Voilà pourquoi la défense de la capitale est aujourd'hui la priorité clé [de l'Ukraine]", a-t-il ajouté.
Au sixième jour de la guerre, les troupes russes s’enfoncent un peu plus dans le territoire ukrainien, avançant vers la capitale et établissant des checkpoints aux abords de quelques villes et villages.
Le centre de Kharkiv, deuxième plus grande ville d'Ukraine, non loin de la frontière russe, est la cible de bombardements russes. Une frappe a notamment visé le siège de l'administration locale.
L’armée russe a atteint Kherson mardi et a établi des checkpoints aux abords de cette ville située dans le sud du pays, près de la Crimée.
Dans la ville de Okhtyrka, dans le nord-est du pays, près de 70 soldats ukrainiens ont été tués lundi dans un bombardement, selon le gouverneur local.
"Nous allons provoquer l'effondrement de l'économie russe [à travers les sanctions économiques occidentales imposées en réponse à l'invasion russe en Ukraine]", a affirmé de son côté le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire.
Le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov, un allié du président Vladimir Poutine, a annoncé mardi les premières pertes parmi ses combattants, avec deux soldats tchétchènes tués et six blessés.
La Cour pénale internationale envisage d’ouvrir une enquête concernant l’invasion russe et l’Ukraine et des crimes de guerre supposés.
Kiev a déclaré que 352 civils ont été tués, dont 14 enfants, depuis le début de l’invasion jeudi dernier.
L’Agence des Nations Unies pour les réfugiés a annoncé que plus d’un demi millions de personnes avaient fui l’Ukraine vers les pays voisins.
Lors d’un entretien téléphonique avec le président Emmanuel Macron, Vladimir Poutine a déclaré que "la démilitarisation et la dénazification" de l’Ukraine, ainsi que la reconnaissance par les pays occidentaux de la souveraineté russe sur la péninsule de Crimée, étaient des prérequis à l’arrêt des combats.
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