Après plus de quatorze ans d’existence de « Ciné Droit Libre », les initiateurs ont déposé leurs valises dans la capitale sénégalaise pour la cinquième édition du festival annuel, pour un calendrier suivant Dakar Phase 1 : du 11 au 14 septembre 2018 (5ème édition) Dakar phase 2: du 28 novembre au 1er décembre 2018.
« Ciné Droit Libre » a encore tenté de relever un nouveau défi en s’attaquant aux questions de la Justice et de la migration en Afrique et dans le monde. Et ce, à travers trois projections de films, un regard sur la Gambie de l’après Yaya Jammeh, « THE JAR (le Canari), A NEW DAWN (Un jour nouveau se lève) et FORGIVENESS (JAYGALEH / Le Pardon) des jeunes réalisateurs gambiens en collaboration avec le studio Sankara de l’artiste sénégalais Didier Awadi.
Vivre Ciné Droit Libre pour que l’Afrique tourne plus droit, plus libre et plus juste, Amadou Sylla qui n’a pas pu bénéficier d’une liberté d'expression sous la règne de Djiammeh , s'est remémoré des difficultés vécues en tant qu' artiste. " En Gambie , aucun artiste n’osait ou même pas réclamait la justice quiconque pense le faire est soit exécuté ou emprisonné", se souvienne le réalisateur du film NEW DAWN (Un jour nouveau se lève)
Avant d’ajouter que « Face à ce constat, le festival Ciné Droit Libre a décidé cette année de mener la sensibilisation sur l’accès à la justice. L’idée, c’est aussi de s’interroger sur l'importance de la justice pour la paix et surtout sur la place de la justice dans la lutte contre l’insécurité et le terrorisme.»
« Ciné Droit Libre » a encore tenté de relever un nouveau défi en s’attaquant aux questions de la Justice et de la migration en Afrique et dans le monde. Et ce, à travers trois projections de films, un regard sur la Gambie de l’après Yaya Jammeh, « THE JAR (le Canari), A NEW DAWN (Un jour nouveau se lève) et FORGIVENESS (JAYGALEH / Le Pardon) des jeunes réalisateurs gambiens en collaboration avec le studio Sankara de l’artiste sénégalais Didier Awadi.
Vivre Ciné Droit Libre pour que l’Afrique tourne plus droit, plus libre et plus juste, Amadou Sylla qui n’a pas pu bénéficier d’une liberté d'expression sous la règne de Djiammeh , s'est remémoré des difficultés vécues en tant qu' artiste. " En Gambie , aucun artiste n’osait ou même pas réclamait la justice quiconque pense le faire est soit exécuté ou emprisonné", se souvienne le réalisateur du film NEW DAWN (Un jour nouveau se lève)
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