L’observatoire de l’IPAO a tenu une conférence sur le projet «Femme, Occupez les médias» lancé dans le cadre de la protection de l’image de la femme durant la présidentielle 2019. Insatisfaits de la façon dont la femme a été prise en charge dans les programmes des cinq (5) candidats de la présidentielle à savoir Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Macky Sall, Issa Sall et Madické Niang, ils demandent plus de considération pour la femme.
Selon l’expert en droits humains et Présidente nationale du Cosef (conseil sénégalais des femmes) , Rokhaya Gassama, s’il n’y a pas une prise en charge spécifique des femmes dans les programmes des cinq (5) candidats, c’est parce que la loi 2010 fait défaut. À l’en croire, cette loi « ne prend en charge que les instances semi-élective, elle n'est pas paritaire».
La plateforme #Passanselles, dénonce, pour sa part, le fait que les candidats parlent des femmes en faisant allusion aux financements. « Souvent quand on parle de femmes dans les programmes des candidats, on fait allusion aux financements et ils pensent qu'ils pourront attirer l'électorat féminin et souvent ça marche, mais ce n’est pas toujours cas», fulmine Maïmouna Diouf de la plateforme #Passanselles .
Toutefois, la Présidente de la plateforme “Veille des femmes pour la paix et la sécurité” tient à attirer l’attention des dirigeants sur le rôle des femmes dans le processus électoral”. Selon Penda Seck Diouf, « la femme à toujours jouer un rôle important dans la politique et elle est consciente qu’elle peut tirer de son poids électoral ».
Et, pour valoriser le leadership de la femme, les panélistes ont appelé les journalistes à mieux traiter les questions genres dans les médias.
Selon l’expert en droits humains et Présidente nationale du Cosef (conseil sénégalais des femmes) , Rokhaya Gassama, s’il n’y a pas une prise en charge spécifique des femmes dans les programmes des cinq (5) candidats, c’est parce que la loi 2010 fait défaut. À l’en croire, cette loi « ne prend en charge que les instances semi-élective, elle n'est pas paritaire».
La plateforme #Passanselles, dénonce, pour sa part, le fait que les candidats parlent des femmes en faisant allusion aux financements. « Souvent quand on parle de femmes dans les programmes des candidats, on fait allusion aux financements et ils pensent qu'ils pourront attirer l'électorat féminin et souvent ça marche, mais ce n’est pas toujours cas», fulmine Maïmouna Diouf de la plateforme #Passanselles .
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