«Plus jamais ça à Thiès», c’est le cri de cœur lancé par les femmes acteurs de développement et les associations de lutte pour les droits humains, qui sont venues apporter aide et assistance à la fillette âgée d’un an et demi qui a été agressée sexuellement.
Selon la présidente de l’antenne régionale du comité de lutte contre les violences faites aux femmes, Mariama Deme, «tout le monde est présent aujourd’hui dans cet hôpital pour dire plus jamais ça. Nous interpellons aussi l’Etat pour la sécurité à Thiès».
Et de poursuivre: «Le taux de prévalence des viols, de violences à Thiès est trop élevé. On n’ose même plus aller à la boutique, c’est devenu un risque avec les immeubles en construction. L’insécurité est de plus en plus grandissante à Thiès et nous voulons plus de sécurité».
Le comité départemental pour la protection des enfants, Kadior Janxeen, venu répondre à l’appel des femmes de Thiès, a décidé de parrainer la victime jusqu’à l’âge majeure.
«Pour Kadior Janxeen, ce qu’on veut faire, c’est proposer à Child Found qui est notre ONG partenaire stratégique, de parrainer cet enfant et le parrainage c’est de 0 à 24 ans. Et durant cette période, elle pourra peut être accompagner de ses frais de scolarité, sur la prise en charge médicale et également sur d’autres types de soutien», a informé un des responsables dudit comité, Alou Sarr, sur la Rfm.
Ces femmes et mouvements de jeunesses promettent de marcher à travers les artères de la capitale du rail prochainement pour dénoncer cet acte qu’ils considèrent barbare et ignoble.
Selon la présidente de l’antenne régionale du comité de lutte contre les violences faites aux femmes, Mariama Deme, «tout le monde est présent aujourd’hui dans cet hôpital pour dire plus jamais ça. Nous interpellons aussi l’Etat pour la sécurité à Thiès».
Et de poursuivre: «Le taux de prévalence des viols, de violences à Thiès est trop élevé. On n’ose même plus aller à la boutique, c’est devenu un risque avec les immeubles en construction. L’insécurité est de plus en plus grandissante à Thiès et nous voulons plus de sécurité».
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