Le ministre de la Communication et des télécommunications, Alioune Sall est déterminé à assainir le secteur de la presse. Il a réitéré cette volonté avec le lancement officiel de la plateforme de déclaration des médias. D'emblée, il a précisé que cette rencontre n'est pas un lieu pour répondre à la journée sans presse des patrons des médias.
Pour lui, c'est un "audit" qui a été lancé par ses services dès son installation en vue de faire l'état des lieux sur la situation des médias au Sénégal. « Cette situation a permis de peaufiner les nouvelles réformes à mettre en place », a-t-il souligné. Selon le ministre, « l'audit a révélé l'existence de 50 presse écrite (Quotidiens, hebdos et mensuels), 150 presse en ligne, 300 radios (privées, communautaires et commerciales et 50 chaines de Tv, TNT gratuites».
Il a, à cet effet, rappelé que l'exercice de Presse est soumise à une autorisation préalable des services du ministère des Télécommunications. Mais selon lui, au regard de la situation beaucoup de médias n'ont pas une autorisation légale pour émettre ou diffuser. Il a aussi soutenu n'avoir pas l'intention d'arrêter ces organes de presse mais il les appelle à se conformer à la réglementation édictée par le code de la presse.
Pour lui, c'est un "audit" qui a été lancé par ses services dès son installation en vue de faire l'état des lieux sur la situation des médias au Sénégal. « Cette situation a permis de peaufiner les nouvelles réformes à mettre en place », a-t-il souligné. Selon le ministre, « l'audit a révélé l'existence de 50 presse écrite (Quotidiens, hebdos et mensuels), 150 presse en ligne, 300 radios (privées, communautaires et commerciales et 50 chaines de Tv, TNT gratuites».
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