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5ième Symposium sur la Gouvernance, la Paix et la Sécurité : l’élite africaine au chevet du continent

Cultiver la Paix et la Sécurité en Afrique : C’est la tâche à laquelle s’est astreinte l’élite du Continent Noir. Et c’est dans ce sens que l’Institut de Gorée a organisé le 5ième Symposium sur la Gouvernance, la Paix et la Sécurité en Afrique. Les participants en ont profité pour dégager des pistes afin de venir à bout de cette tare qui ruine es espérance de développement de l’Afrique.



5ième Symposium sur la Gouvernance, la Paix et la Sécurité : l’élite africaine au chevet du continent
«Cette initiative est une réponse à l’appel de Tripoli et cherche à s’insérer dans l’Architecture africaine pour la Paix et la Sécurité. En dépit des avancées notables, l’ancrage démocratique dans l’espace CEDEAO est encore un objectif à atteindre », a déclaré Doudou Dia, le directeur de l’Institut de Gorée. Selon lui, «une approche collective et inclusive du problème», est nécessaire afin que les conflits, une fois éradiqués dans un endroit, ne se révèle ailleurs.

Cet avis est partagé par Serigne Mamadou Ka, le représentant de la CEDEAO qui affirme qu’«on ne peut pas atteindre l’intégration économique sans la Paix dans la sous-région. Ce que la CEDEAO essaie de faire aujourd’hui, c’est de travailler avec la société civile. Nous sommes très heureux du choix du thème du Symposium. Les résultats pourront nous être d’un grand appui pour la mise en œuvre de nos politiques».

Me Augustin Senghor dont la commune accueille le symposium s’est inscrit sur la même ligne et s’est félicité du choix porté sur Gorée, qui se trouve être «l’Ile de tous les africains et tous les citoyens du Monde».

Et le maire de Gorée de conclure : «quand on utilise Gouvernance, Paix et Sécurité, on ne trouve qu’un dénominateur commun : le conflit.  Et c’est dommage. Cela montre l’Homme comme un être de conflit. On vous souhaite un bon séjour en espérant que les réflexions, qui vont sortir de ces deux jours, pourront nous aider à résoudre le problème d’insécurité dont l’africain fait face ».
 


Jeudi 24 Novembre 2016 - 22:46


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