« Le Premier ministre est en résidence surveillée. Il ne peut pas recevoir qui il veut, ou aller où il veut. Il y a des militaires à sa résidence et il n’est pas libre de ses mouvements », a indiqué à l’AFP un membre de la famille de M. Diarra.
Cheik Modibo Diarra a annoncé mardi sa démission et celle de son gouvernement peu après avoir été arrêté à Bamako sur ordre du capitaine Amadou Haya Sanogo, ancien chef des putschistes qui avaient renversé le président Amadou Toumani Touré en mars.
Cette démission plonge encore un peu plus dans la crise et l’incertitude le Mali dont la moitié nord du territoire est entièrement occupé depuis juin par des islamistes armés liés Al-Qaïda: une intervention militaire étrangère, demandée par M. Diarra et dont la forme et le calendrier sont contestés par M. Sanogo, est à l’étude pour les en chasser.
Cheik Modibo Diarra a annoncé mardi sa démission et celle de son gouvernement peu après avoir été arrêté à Bamako sur ordre du capitaine Amadou Haya Sanogo, ancien chef des putschistes qui avaient renversé le président Amadou Toumani Touré en mars.
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